"l'élue : les commentaires"

Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Pourquoi tu m'as dit ça. Je vais m'imaginer pleins de choses maintenant.

oui je sais ...je suis SADIQUE

Le fameux Samuel s’était approché de leur table, saluant Marie, il arrivait derrière Élisabeth.
mal dit

— Samuel ! Articula-elle
articula-t-elle
md

Il était grand, brun et elle fut très surprise de constater qu’il se penchait pour embrasser sa mère.
ambiguë

Si Élisabeth avait eu des poignards à la place des yeux elle aurait certainement trucidé sa mère sur place.
familier

Elle profita de l’arrivée de ce dernier pour détailler rapidement Samuel assis en face d'elle.
Qui s'était assis... ?
Tout à l'heure il était derrière elle, et il ne me semble pas qu'elle se soit retournée, ou que lui se soit déplacé, alors qu'elle arrive à le décrire (donc elle le voit) et elle parle avec lui...
Bizarre.

— ça va ? S’enquit-il.
Majuscule à Ca mais pas à s'enquit, non ? Ce n'est pas la première fois que tu mets des majuscules pour un verbe de parole, il ne me semble pas que cela soit juste...

Pour le coup, Elisabeth était presque détendue maintenant.
Ca la détend qu'on la traite de mulot ?

Ils roulèrent vingt minutes avant d’arriver devant un grand portail en fer forgé.
Vingt minutes de silence total ? On a pas le droit à un petit résumé ?

Elle était impressionnante tant par sa taille que par les meubles qui s’y trouvaient.
Ah bon ? On ne dirait pas ! ^^ Ils ressemblent à quoi, ces meubles ?


tapis, tapisserie...


Ça te branche ?
"fut" nia nia nia, bien soutenu comme discours, et d'un coup "ca te branche" ??? Le choc ! ^^

Je reviendrais lire la suite ! J'aime bien cette ambiance... Niark niark niark ! Il a combien de millénaires, ce vampire de Samuel ??


(aaaah !! c'est quoi ce smile !!?) :shock:

Le fameux Samuel s’était approché de leur table, saluant Marie, il arrivait derrière Élisabeth.
mal dit

c'est quoi que tu comprends pas ? :shock:

Il était grand, brun et elle fut très surprise de constater qu’il se penchait pour embrasser sa mère.
ambiguë

Parfait ! c'est ce que je voulais !

Si Élisabeth avait eu des poignards à la place des yeux elle aurait certainement trucidé sa mère sur place.
familier
ah bon ? non, je pense que ça traduit exactement ce qu'elle ressent


Elle profita de l’arrivée de ce dernier pour détailler rapidement Samuel assis en face d'elle.
Qui s'était assis... ?

relis bien la phrase. Justement je le dis.

Tout à l'heure il était derrière elle, et il ne me semble pas qu'elle se soit retournée, ou que lui se soit déplacé, alors qu'elle arrive à le décrire (donc elle le voit) et elle parle avec lui...
Bizarre.

oui et des êtres bougent chaque jour... non je rigole. Trop détailler les mouvements des personnages je trouve ça trop lourd. Genre : il prend le verre, il boit l'eau, il déglutit et respire = il boit un grand verre d'eau. Le reste on s'en doute.


Pour le coup, Elisabeth était presque détendue maintenant.
Ca la détend qu'on la traite de mulot ?

Elle a de l'humour ELLE ! lol ...non c'est de rire qui l'a détend

Ils roulèrent vingt minutes avant d’arriver devant un grand portail en fer forgé.
Vingt minutes de silence total ? On a pas le droit à un petit résumé ?

ah bah là pour le coup tu as raison !!! et grandement même !!!
je modifie : Ils roulèrent cinq minutes ....... en plus pour la suite de l'histoire c'est un détail qui peut avoir son importance


Merci Mwoua ! j'adore tes comm pleins d'humour.

Le fameux Samuel s’était approché de leur table, saluant Marie, il arrivait derrière Élisabeth.
C'est le "il arrivait derrière Eli.."
il n'est pas placé au bon endroit... Tu parles du lieu où il se trouve, puis tu dis son action... et tu reviens sur le lieu où il se trouve. Je voulais te dire qu'il valait mieux réorganiser la phrase.

ah bon ? non, je pense que ça traduit exactement ce qu'elle ressent
Je n'ai pas dis "mal dit" ! Mais "familier"... Le trucider, ca fait un peu... cours de récrée ;D Peut-être qu'elle le pense comme ca mais du familier là, d'un coup, ca m'a gênée... Il est assez facile à remplacer, mais comme tu veux.


Elle profita de l’arrivée de ce dernier pour détailler rapidement Samuel assis en face d'elle.
J'aurais dû préciser ! Excuse moi, c'était en fait une proposition : "qui s'était assis". C'est comme tout à l'heure, il manque le subordonnant.


Le reste on s'en doute.
Oui mais là ca me paraît important ! Il y a un gros trou dans le texte, du coup...

Bon courage !!

Oui mais alors tu mets quoi à la place de "trucider" ? hein Tantine ? je suis toute ouie ! décaniller ? lol

Toujours autant de facilité à écrire. Tu me fais rêver. Je souhaite un jour arriver à ton niveau pour faire rêver à mon tour :')

Détrompes toi Benji. Cette histoire a été corrigée et recorigée et encore ... un nombre de fois que je ne me souviens même plus... demande à voyelle (elle a participé ! )

C'est une des raisons pour laquelle je dis que lorsque tu écris, ce n'est pas toujours l'inspiration le plus dur.. reste la correction... la galère n° 1 pour moi !

Voilà !
Sinon tu peux dire tuer... Tout simplement... C'est la version courante du trucider familier ^^

Ah bah oui mais pour le coup tuer ... c'est ... banal ...lol .. un peu de familiarité ça tue pas ? lol si ?

Je défend mon steack comme une affamée, je sais...

normal ! C'est bien qu'on y réfléchisse ^^ J'aime bien les débats !
J'ai revu la phrase, c'est vrai que "tuer" ne passe pas ! Dsl j'aurais dû vérifier !
Mmmm...
Assassiner ?

ah c'est mieux assassiner ! va pour assassiner ! voté : adopté ! et merci

De rien !
Ca me rappelle le "invisible" ! Je l'ai gardé tu sais ! Et maintenant je n'envisagerais même pas de l'enlever...

c'est ce qu'on appelle une excellente collaboration ! (beurk, j'ai horreur de ce mot ... )

Pourquoi ? C'est génial !

Il sentait bon la cannelle ; il lui sembla que décidément dans ce château tout sentait bon.
répétition de "bon"

Elle se retourna brusquement, ses yeux noirs pleins de foudres, le poing serré.
? Serré sur sa canne ? Pourquoi un seul ?


Élisabeth fixait rêveusement ses œufs brouillés. La soirée avait été merveilleuse. Elle devait bien s’avouer que Samuel l’avait subjuguée. Elle se sentait heureuse. Une seule fausse note : Éric.

Aaaah mince !! Tu dis tout de suite "Eric"... Je me doutais que c'était lui, "l'autre" à être entrée en contact avec elle, mais je n'étais pas sure... Tu pourrais garder un peu de suspens...


Elles avaient prévu de se rendre cet après-midi dans un musée d’archéologie. Oui, ce matin, Élisabeth était heureuse et ne laisserait aucune idée noire gâcher ce plaisir.
cet aprem, ce matin... Cela complique un peu la chose, embrouille, dommage !

Marie avait élevé seule sa fille, n’avait pas eu une seule relation suivie avec un homme.
suivie ? Tu veux dire, sérieuse ? Cet expression me paraît bizarre. Ce ne doit pas être le bon terme, non ?

Dans le musée, elles choisirent l’option « guide » ; un grand chauve binoclard, qui récitait laconiquement des phrases apprises par cœur. Élisabeth s’ennuya beaucoup malgré les coups d’œil moqueurs de sa mère qui trouvait, semble-t-il, le guide très amusant.
Dommage ! Tu soutiens le clichés... Pourtant dans tous les musées que j'ai visité (bon d'accord, pas tellement ^^), les guides étaient passionnants...

Une suite très sympathique !!

rhhoo je peux rien contester
Pour une fois !!
xD

Corrigé ! modifié !

Satya, sa fille de cinq ans restait la seule qui atténuait la douleur mais elle était aussi celle qui lui rappelait Samuel. La petite ressemblait tellement à Samuel.
Tu répétes deux fois Samuel.

sable fin où courait sa fille poursuivit → Il me semble que c'est "poursuivie"

Ah, je sais ce qu'il va se passer XD

ohhhh la tricheuse !!! mais merci pour les fautes... z'avais pas vu celles ci.

Mais lorsqu'elle demanda à la petite rousse qui se tenait assise derrière la banque, si son ami avait appelé, cette dernière secoua la tête en consultant le grand registre ouvert sur son bureau.
Petite... Grande... C'est comme le verbe "faire"... Ca fait un peu imprécis, mais sa passe, par contre la répétition moins, je trouve.

— Pas revenu. Éluda Élisabeth.
=> "Pas revenu, éluda..."

— Super ! Coupa Djamila.
=> " ! coupa "

Elle s’avança de quelques pas sur le trottoir mais s’arrêta net fixant un point de l’autre côté de la rue.
=> "net en fixant"

Elle s’avança de quelques pas sur le trottoir mais s’arrêta net fixant un point de l’autre côté de la rue. Sur le bord de la route, un peu plus loin, une voiture de sport noire était arrêtée.
répétition de "arrêter"

— Je crois qu’il y a une voiture qui me surveille ! Lâcha-t-elle.
"! lâcha-t-elle"

— Ne bouge pas. Je suis là dans dix minutes maximum.
Ca fait un peu long... Il ne pourrait pas être plus dans le coin ? Genre pas vraiment un hasard miraculeux, mais lui aussi comptait l'observer, la suivre, je ne sais pas... Et puis heureusement que tu as corrigé les vingt minutes (corrections précédentes), c'est vrai que cela n'aurait été carrément pas pratique ! ;D Quel casse-tête !

Il raccrocha sans laisser le temps à la jeune fille de répondre.
S'il a appelé avec un portable... Pourquoi il ne la garde pas en ligne ? Au cas où on la kidnappe, je ne sais pas, mais perso je ne raccrocherais pas... ^^


Elle devança la question qu’elle sentait venir et lui coupa la parole en se balançant nerveusement sur ses jambes pour tenter de calmer son angoisse.

Alors elle n'est plus cachée derrière son poteau ? Ca aurait pu être comique, quand Laurent débarque !

— Oui, justement on a pas vu Éric. Il devait venir s’entraîner avec nous. Tu l’as vu ?

répétition de "vu"

— Oui moi aussi je regrette. Mais plutôt parce que toi tu regrettes ! Souffla-t-il rapidement la tête baissée.
" ! souffla-t-il "

— Je n’ai pas inventé d’histoire ! Se révolta Élisabeth.
" ! se révolta"

— Tu ne me crois pas ? murmura-t-elle.
Elle ne lui dit même pas qu'elle l'avait déjà vu ?

— Ah, au fait, tout à l’heure, je t’appelais pour t’inviter dimanche. Et maintenant que je suis ton sauveur tu ne peux plus rien me refuser.
J'adore la fin ! Tu as toujours le petit truc pour faire sourire ^^ Que cet abruti (pardon !) lui sorte ca la c'est tellement... tellement... Bien trouvé ? Enfin qu'importe, j'aime !

Mais lorsqu'elle demanda à la petite rousse qui se tenait assise derrière la banque, si son ami avait appelé, cette dernière secoua la tête en consultant le grand registre ouvert sur son bureau.
Petite... Grande... C'est comme le verbe "faire"... Ca fait un peu imprécis, mais sa passe, par contre la répétition moins, je trouve.

Bien vu ! Mais lorsqu'elle demanda à la petite rousse qui se tenait assise derrière la banque, si son ami avait appelé, cette dernière secoua la tête en consultant le registre ouvert sur son bureau.

— Pas revenu. Éluda Élisabeth.
=> "Pas revenu, éluda..."

Pour les majuscules derrière les dialogues, je rectifie mais il faudrait que je retrouve la règle car il me semble que ce n'est pas le cas partout

Elle s’avança de quelques pas sur le trottoir mais s’arrêta net fixant un point de l’autre côté de la rue.
=> "net en fixant"

Adjugé, vendu !

— Ne bouge pas. Je suis là dans dix minutes maximum.
Ca fait un peu long... Il ne pourrait pas être plus dans le coin ? Genre pas vraiment un hasard miraculeux, mais lui aussi comptait l'observer, la suivre, je ne sais pas... Et puis heureusement que tu as corrigé les vingt minutes (corrections précédentes), c'est vrai que cela n'aurait été carrément pas pratique ! ;D Quel casse-tête !

Tu as compris pourquoi maintenant !!! lol. tu avais touché un détail MAJEUR sans le savoir ! il faut vraiment penser à tout ! d'un autre côté il est pas obligé d'être au chateau...

Il raccrocha sans laisser le temps à la jeune fille de répondre.
S'il a appelé avec un portable... Pourquoi il ne la garde pas en ligne ? Au cas où on la kidnappe, je ne sais pas, mais perso je ne raccrocherais pas... ^^

Encore un truc que tu découvriras plus tard ... un détail qui n'en est pas un lol

Elle devança la question qu’elle sentait venir et lui coupa la parole en se balançant nerveusement sur ses jambes pour tenter de calmer son angoisse.
Alors elle n'est plus cachée derrière son poteau ? Ca aurait pu être comique, quand Laurent débarque !

Tu sais que j'y ai pensé mais ça m'a parut compliqué à l'époque. Mais je peux encore changé ce passage. Je modifie et te propose un truc ...

— Tu ne me crois pas ? murmura-t-elle.
Elle ne lui dit même pas qu'elle l'avait déjà vu ?

non déja qu'elle passe pour une cinglée ! lol faut il le préciser ?

Ah, au fait, tout à l’heure, je t’appelais pour t’inviter dimanche. Et maintenant que je suis ton sauveur tu ne peux plus rien me refuser.
J'adore la fin ! Tu as toujours le petit truc pour faire sourire ^^ Que cet abruti (pardon !) lui sorte ca la c'est tellement... tellement... Bien trouvé ? Enfin qu'importe, j'aime !

C'est un compliment qui me touche ! MERCI Mwoua... pour le compliment et pour avoir pris le temps de me corriger

Brisette, c'est le tome 1 que tu as posté ? Tu veux toujours le corriger alors qu'il est édité ? Et le tome 2, il est où ?

voyelle a écrit:

Brisette, c'est le tome 1 que tu as posté ? Tu veux toujours le corriger alors qu'il est édité ? Et le tome 2, il est où ?

C'est une longue histoire...

et puis on peut toujous s'améliorer. Je ne devais pas poster le 1 ici mais j'ai craqué (me suis dit : c'est bête de pas en profiter... )

Pour le tome 2, le début est posté ici également, et j'en suis au chapitre 4. J'avance trééééééssssss doucement.

Pour les majuscules derrière les dialogues, je rectifie mais il faudrait que je retrouve la règle car il me semble que ce n'est pas le cas partout
J'avais lu un bouquin où j'avais vu ca, c'est pour ca que j'utilise cette typographie maintenant, mais peut être que cela dépend des éditeurs...

MERCI Mwoua... pour le compliment et pour avoir pris le temps de me corriger
^^ De rien ! Et puis... entre le bac blanc le bac tout court... xD Nan en fait j'ai pas cours demain !

J'avance trééééééssssss doucement.
Mdr !! Je compatis ^^ Moi ca fait cinq fois que je réécris la suite de SN ! C'était pas drôle, trop sérieux j'aimais pas !
Alors je me suis dit que pour les lecteurs, ce serait encore pire...