C'est avec plaisir que je commence à lire ton histoire. Tu sais que j'aime ton style direct et sans bavure. code couleur :rouge : fautesbleu : repetvert caca d'oie : maladressesviolet : commentaires- S'il n'y avait qu'une seule décision à prendre ce serait la bonne car toutes les autres me conduiraient instinctivement vers l'échec
(je mettrais cette phrase en italique et non entre deux tirets) – Hilary Donna Bunks, inscription gravée sur une plaque de marbre en sa mémoire.
- (et ça à la ligne, aligné à droite) S'il n'y avait qu'une seule décision à prendre ce serait la bonne car toutes les autres me conduiraient instinctivement vers l'échec.Hilary Donna Bunks,
inscription gravée sur une plaque de marbre en sa mémoire.
17 Juin 2009 – Manhattan(
point)
Cette vague émotionnelle entraînait tout sur son passage, ignorant les affres qu'elle pouvait causer à Hilary, tapis dans l'ombre, le poste allumé à plein volume dans sa petite chambre obscure. Elle ressassait dans sa tête tous les moments essentiels de sa vie, oubli
ant qu'elle fut un jour heureuse
en réfutant toute vie fade et amère.
(en fait c'est le participe présent deux fois dans la même phrase qui me gêne. je trouve que ça l'alourdit.)
Allongée sur son lit, seul le refrain du morceau Finding Myself chanté par le groupe californien Smile Empty Soul résonnait dans cette espace étonnamment vide. Hormis une armoire qui contenait l'intégralité de sa modeste garde robe ainsi qu'un bureau et un lit,
pas grand chose constituait le mobilier de cette chambre
(remarque bien, c'est déja pas mal : tu veux quoi d'autre comme mobilier dans une chambre ? Tu veux peut-etre dire que le décor est impersonnel ? pauvre ? sommaire ?). Les murs qui étaient tapissés d'un vert pomme hideux donnaient un faux semblant de gaîté. C'était sans doute la seule chose qui rappelait que c'était bien une fille qui y vivait et non un espèce de vieil écrivain déchu dont la carrière artistique battrait de l'aile, faisant passer ses problèmes avec un verre de bourbon.
(ah bah voila, tu répond à ma question ! reste que le mobilier est suffisant quand même pour une chambre. Tu aurais dis qu'il n'y avait qu'un lit et des magasines superposés en guise de table de chevet, j'aurais compris. Bon j'arrête de faire ma valérie damido et je poursuis) Hilary était bien une jeune fille de dix-sept ans dont la vie ne lui avait pas toujours souri
t.
On frappa à la porte.
Hilary se
retourna (recroquilla) sur son lit, plissant ainsi ses draps. Elle se trouvait sur le ventre, la tête plongée sur son oreiller. On frappa une seconde fois mais elle
ne dit toujours rien, gardant cette position d'animal mort.
- (voir post "régles de la ponctuation" (tiret cadratin = alt 0151 —)Tu es là ma chérie ?
Une douce voix retentissait à travers la porte
, La musique était bien trop forte pour qu'elle ne puisse se faire entendre mais elle insista davantage. mais pas assez forte pour dominer la musique trop forte. Elle insista davantage. Hilary refusait de lui répondre.
- Ouvre-moi s'il te plaît, tu ne vas pas rester éternellement dans ta chambre... Je t'ai préparé à manger, ça te fera du bien de grignoter un petit quelque chose.
Rien ne pouvait réellement lui faire du bien. Johanna
, qui était sa mère, le savai
s (
t) très bien mais cette idée l'effrayait à un plus haut point et
elle s'était promis de tout
faire (
tenter) pour la revoir un jour heureuse.
Juste qu'elle Ne serait-ce que l'esquisse
d'un
sourire. L'idée de voir sa fille
sourire lui donnait énormément de courage pour persévérer dans ses efforts.
Elle frappa encore mais en vain. Sa fille refusait de répondre ou même de lui ouvrir la porte.
Johanna s'inquiétait énormément pour sa fille,
(déja dit) sachant tout ce qu'elle avait traversé au cours de ces dernières années.
- Très bien Hilly... Si finalement tu décides de venir manger, ton assiette sera encore servie.
Johanna descendit au rez-de-chaussée pour retrouver son mari et son beau-fils Dan qui était déjà installé
s à table, attendant patiemment de pouvoir entamer le succulent repas qu'elle leur avait préparé
e. Elle était depuis son plus jeune âge une excellente cuisinière dont aucun pal
et (palais) ne pouvait résister. En franchissant le seuil de la salle
-à
-manger, Jeffrey, son mari,
l'aborda immédiatement en l'entraîna
nt dans la cuisine. Une
délicieuse odeur de poulet grillé
à point se sentait de part l'entrouverture émanait, provenait, sortait... du
four. Il devait être cuit depuis une petite dizaine de minutes et Jeffrey
à avait pris le soin d'entrouvrir le
four pour ne pas qu'il carbonise. Elle se réjouissait tous les jours d'avoir un mari aussi aimant et attentif même s'il ne prenait pas totalement en considération les problèmes de sa fille. Hilary passait par une période très dure et Jeffrey faisait l'autruche,
ne voyant que ce qu'il y avait de beau dans ce monde. (je ne comprend pas cette dernière phrase ?)- Pourquoi ne descend
s-t-elle pas ? Tu t'es donnée tant de mal à nous préparer ce repas, elle pourrait faire un effort !
- Mais tu t'attendais à quoi ? Lui
demanda-t-elle en agrippant des gants rouges pour ne pas à se brûler en sortant le poulet du four. Elle est sorti
t e de l’hôpital seulement aujourd'hui. Elle ne va pas encore tout à fait bien, il va lui falloir du temps.
- Du temps on lui en a laissé suffisamment. On a été très patient et compréhensif avec elle, elle pourrait nous montrer plus de gratitude je pense.
- Laisse
-lui du temps Jeffrey... C'est très dur pour elle.
Elle posa le plât qui contenait le poulet sur la table de travail
juste après l'avoir extirpé du four encore très chaud. Jeffrey pri
s t un couteau
adapté pour le découper ainsi qu'une fourchette et se mit à couper des tranches et trancha des morceaux qu'il posa soigneusement sur une grande assiette.
(c'est à toi de voir mais parfois les détails qui me paraissent inutiles alourdissent le texte. Enfin, je trouve...) Johanna se servit un verre de vin rouge, remplissant les trois quarts du verre et s'adossa au frigo.
- J'ai peur pour elle tu sais
... (tu serais pas le copain de Mwoua ? vous avez la même manie tous les deux : les trois petits points ! ) Elle m'a fait très peur et je pense que tu ne t'en rends pas compte.
- Bien sûr que je m'en rends compte. Comment peux-tu dire ça ? J'ai toujours été là pour elle. Je suis son père et je l'aime.
- Elle n'a pas besoin de père
(virgule) Jeffrey. Elle en a déjà eu un et elle refuse de te considérer comme tel.
- Pourtant j'ai toujours été là pour elle, protesta-t-il en terminant la découpe avant de jeter la carcasse vide dans la poubelle.
(ouille ! ça sent l'embrouille lol ) - Le problème n'est pas là. C'est très dure pour elle de remplacer son père biologique, voilà ce que je veux dire. C'est tout. Et pour l'instant c'est une fille très perturbée alors laisse
-lui du temps. D'accord ?
- Vous parlez de moi lorsque je ne suis pas là ?
Hilary se tenait à l'entrée de la cuisine. Johanna eut un petit sursaut
en l’apercevant en découvrant sa fille qui les guettait d'un regard noir.
- Mais non ma chérie... On se fait beaucoup de souci
e s pour toi, c'est tout. Tu veux manger avec nous ?
- Pourquoi pas. Ce serait con que je vienne à mourir de faim.
(elle a de l'humour au moins ! ) - Hilary ! S'écria Jeffrey.
- Laisse Jeffrey, c'est rien. Maintenant on va tous s'installer à table et manger ce délicieux repas autour d'une table de ce qu'il y a de plus familiale.
C'est incroyable cette faculté que tu as de m'entrainer dans ton univers ! direct, j'y suis : je sens meme les odeurs du poulet. Bon pour le moment je n'ai pas lu suffisement pour en dire plus mais j'ai vraiment envie de lire la suite ! et j'espère que mes observations t'aideront.