Petits Textes : les commentaires

Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ?
"Qu'est-ce que c'est, le bonheur ?" Ou "Qu'est-ce, le bonheur ?" Mais je ne crois pas que ce mélange existe, à vérifier. Pour moi, c'est une bonne intro, mais ne continue pas avec trop de questions.

Le savons-nous ? Avons-nous déjà ressenti cette émotion de joie ?
Tu te demande si tu sais ce que c'est... Cela sous-entend que non, puisque tu doutes. Puis tu en proposes une définition... C'est contradictoire.

Laissez-moi en douter.
Aïe aïe aïe.... Tu insistes encore sur le fait que tu peux dire que c'est une émotion, et qu'en plus elle s'apparente à la joie... sans savoir de quoi il s'agit !

Le bonheur n'est-il pas magique ?
Non. Aucune magie dans le bonheur. Magique, ca ne veut rien dire. Il faut que tu définisses ce que tu entends par là...

N'est-il pas une joie absolue ?
Ah. Sauf que qu'est-ce que la joie ? Cela ne nous avance pas plus...

Une joie qui ne se terminera jamais ?
... Euh... Tu t'es déjà senti heureux ? Et pourtant, est-ce que tu seras heureux toute ta vie ? Non, bien sûr. Le bonheur peut exister sans être obligatoirement éternel...

N'est-il pas un moment où, il n'y a aucune peine, aucune peur ou même aucune insécurité ?
Virgule mal placée.
Tu t'approches du but ! Réfléchi : peine, peur, insécurité... Et même faim, soif, sommeil, douleur... De quoi s'agit-il ? De troubles. En philo, c'est à partir de ces troubles que nous avons défini le bonheur : le bonheur, c'est l'absence de troubles...

Ne devrait-il pas être un moment où on ne pense qu'à sourire ou à rire ?
Le bonheur nécessite-t-il vraiment de sourire ou de rire ? Je pense qu'on peut être profondément heureux sans sourire forcément. De plus, je dirais que le verbe penser suivit de que est mal adapté. On se sent joyeux pour une raison, en général c'est plutôt à celle-ci qu'on pense... mais on ne se dit pas : "je sourit !"

Ne devrait-on pas sentir une chaleur au fond de nous ?
Ah ! Tu passes aux sensations ! Alors... Tu ne sais pas ce que c'est mais tu es capable de l'assimiler à une émotion, puis même à une sensation ?

Une chaleur qu'on ne voudrait quitter ?
Si cette chaleur est au fond de nous, peut-on vraiment la quitter ? Ou bien, est-ce l'inverse : c'est elle qui nous quitte... De plus, c'est une image un peu vague.

Ne devrait-il pas être un moment qu'on voudrait revivre ?
Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu enchaînes ces "on devrait" ! En théorie, cela veut dire que ce n'est pas le cas... Tu ne cesses de te contredire...

Un moment qu'on voudrait graver à jamais ?
Graver où ? Un moment ? Ce n'est plus éternel, finalement... Aïe...

Ne devrait-il pas être un moment où nous oublions tout nos malheurs ?
On écrit "tous". Idem. Ce n'est pas le cas ? Pourquoi "devrait" ? De plus, on peut être heureux malgré les malheurs, sans les oublier. Ce que je veux te dire, c'est que les bonheurs peuvent être plus grands que les malheurs. Nous pouvons vivre avec, et être heureux si nos bonheurs sont plus grands que nos malheurs... C'est le plus grand bien.

Où nous vivons que le moment présent ?
Ce n'est pas francais. Et quel rapport ?


Est-ce que le bonheur est un moment ? Une émotion? Un ressentiment ? Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ? Le savons-nous ? Le bonheur existe-t-il vraiment ?Si oui, je crois que c'est le paradis... Mais est-ce que le paradis existe ?
Tu te répètes ! Tu remets même les phrases du début... Comme quoi tu tournes en rond, tu es toujours à ton point de départ. La seule chose que tu affirmes, de tout ton texte, c'est que le bonheur est le paradis ! Mais selon les croyances, le paradis peut ne pas exister... Et si tu fais appel à "l'image" du paradis, il reste imaginaire... Et après ton unique affirmation, tu la remets en doute.
Il n'y a rien de solide dans ton texte, aucune réflexion solide. Ce sont des phrases mises bout à bout, au fur et à mesure qu'elles te venaient, sans liens, sans plan. C'est pour cela que tu tournes en rond. C'est ce qu'on appelle un brouillon... ; ) Je pense que tu pourrais le réécrire ! Maintenant que tu as les idées sur lesquelles tu veux parler, tu peux les trier. Ensuite, il faudrait réfléchir à ce que les termes que tu utilisent veulent dire. Et pourquoi pas te renseigner sur ces thèmes, lire de la philo ? Tu peux commencer par lettre à Ménécée, d'Epicure. Il est accessible et traite justement du bonheur ! C'est beaucoup de boulot, l'écriture... Alors l'écriture plus la philo... ;D Ne te décourage pas ! C'est une bonne idée, je trouve !
Bonne continuation !

Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ? Le savons-nous ? Avons-nous déjà ressentis cette émotions de joie ? Laissez-moi en douter. Le bonheur n'est-il pas magique ? N'est-il pas une joie absolu ? Une joie qui ne se terminera jamais ? N'est-il pas un moment où, il n'y a aucune peine, aucune peur ou même aucune insécurité ? Ne devrait-il pas être un moment où on nepense qu'à sourire ou à rire ? Ne devrait-on pas sentir une chaleur au fond de nous ? Une chaleur qu'on ne voudrait quitter ? Ne devrait-il pas être un moment qu'on voudrait revivre ? Un moment qu'on voudrait graver à jamais ? N devrait-il pas être un moments où nous oublions tout nos malheurs ? Où nous vivons que le moment présent ? Est-ce que le bonheur est un moment ? Une émotions ? Un ressentiment ? Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ? Le savons-nous ? Le bonheur existe-t-il vraiment ?Si oui, je crois que c'est le paradis... Mais est-ce que le paradis existe ?