Petits Textes

Voilà, ici je vais publier des textes que j'écris comme ça. En voici un :

Le bonheur

Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ? Le savons-nous ? Avons-nous déjà ressentis cette émotions de joie ? Laissez-moi en douter. Le bonheur n'est-il pas magique ? N'est-il pas une joie absolu ? Une joie qui ne se terminera jamais ? N'est-il pas un moment où, il n'y a aucune peine, aucune peur ou même aucune insécurité ? Ne devrait-il pas être un moment où on nepense qu'à sourire ou à rire ? Ne devrait-on pas sentir une chaleur au fond de nous ? Une chaleur qu'on ne voudrait quitter ? Ne devrait-il pas être un moment qu'on voudrait revivre ? Un moment qu'on voudrait graver à jamais ? N devrait-il pas être un moments où nous oublions tout nos malheurs ? Où nous vivons que le moment présent ? Est-ce que le bonheur est un moment ? Une émotions ? Un ressentiment ? Qu'est-ce qu'est vraiment le bonheur ? Le savons-nous ? Le bonheur existe-t-il vraiment ?Si oui, je crois que c'est le paradis... Mais est-ce que le paradis existe ?

Voilà !

Voilà un rêve assez étrange que j'ai fait :


Un adolescent était étendu dans le sable chaud et sous la chaleur du soleil de l’Égypte, il regardait dans le ciel, pensif. Celui-ci se leva et alla voir la construction du nouvel aqueduc. Cet Égyptien ce prénommais Héka, comme le dieu Égyptien de la magie. Plus loin il vit un jeune couple danser, Héka marcha vers eux pour les regarder de plus près. Ces deux danseurs avaient les cheveux noirs et lisses, la femme avait des yeux verts magnifique et l’homme des yeux bleu éclatant. Ils attiraient le regard avec leur vêtement de couleurs vives et rempli de joie. Quand Héka s’approcha, le couple le regardait, mais il ne voyait plus leurs yeux, leurs cheveux noirs, rendu presque gris, les cachaient. Leurs vêtements noircissaient. Ils avaient l’air démoniaque, le couple devenait laid et ridé. Ils avaient la bouche sèche et mauve. Ces jeunes rendu vieux ouvrit leurs bouches et cria d’une seule voix grave et horrible:
-Voleur !!!!!!!!
Héka eut des frissons, Il ne voyait plus que le couple qui lui criait ce mot, sa vue commença à se brouiller, puis il tomba, inconscient avec le mot voleur résonnant dans sa tête.

Donc voilà une légende que j'ai écrite en cour français(donc pas obliger de me la corriger)

Mon grand-père était bien installé dans son fauteuil de cuir, ses lunettes au bout du nez prêt à nous raconter son histoire. J’étais assis face à lui, au sol, attendant impatiemment qu’il nous fasse part de son récit. Au bout d’in moment il me demanda si j’étais prêt, je lui répondis par une affirmation. Alors il commença.

-Il y a fort longtemps, lorsque j’avais ton âge, plusieurs évènements ont eu lieu. J’habitais Jérusalem, un endroit magnifique. Il arrivait fréquemment qu’à la place centrale il y ai des pendaisons.

«Un beau jour d’été, un bandit nommé Mohammed Iben-Zemen devait être pendu. Cela faisait longtemps que la sécurité le cherchait pour des choses horribles, dont je me tairai. Toute la ville était là pour sa mise à mort. Moi j’y était avec ma mère.»

«Mohammed s’avançait tranquillement vers la corde. Un des bourreaux alla mettre la corde à son cou. La foule attendait avec impatience. Et puis la trappe sous ses pieds s’ouvrit. Il ne se débattait pas, il souriait. C’était un sourire à glacer le sang. Sous les regards ébahis des spectateurs, la corde se brisa. Mohammed atterrit sur ses pieds et s’écria :

-J’ai oublié de vous dire mes adieux. Vous n’êtes qu’une bande de bouffons qui ne mérite pas de me voir mourir. Je vous lance une malédiction !

«Aucun incident n’arriva pendant la journée. Rendu au soir, tous allèrent se coucher, sauf un villageois qui était trop bourré.»

«Il marchait d’un pas mal assuré vers la place ou le corps de Mohammed avait été laissé pour donner une leçon à ceux qui voudrais être comme lui. Mais en s’approchant, le villageois ne voyais plus le corps du pendu, il n’y avait que la corde. On pouvait entendre des chaines qui s’entrechoquaient. C’est alors qu’il le vit et eu une frayeur à rendre fou. Le villageois commençait à sombrer, il sentit son âme se détacher de son corps. Il essaya tant bien que mal de s’accrocher à de bons souvenirs, mais les mauvais l’enveloppaient. C’est dans cette souffrance éternel qu’il mourut.»

«Le lendemain matin on le retrouva pendu aux côtés de Mohammed. La ville paniquait, à chaque jour un pendu se rajoutait aux côtés des autres. Les prêtres essayèrent toutes leurs techniques contre cette diablerie, mais les malheureux se retrouvèrent pendus. C’est sous la force de la peur et du désespoir que quelques hommes déplacèrent l’échafaud du pendu sous la terre.»

«Le village redevint calme, mais on dit qu’encore aujourd’hui on peut entendre le bruit des chaînes de Mohammed si nous allons dans un certain immeuble à Jérusalem pendant la nuit.»

Mon grand-père se calla confortablement dans son fauteuil et s’endormit peu à peu sans un mot. Je partit me coucher avec les pensées qu’un jour je raconterai cette histoire à mon petit-fils moi aussi.

Un autre texte écrit en français(nouvelle littéraire), lui il date de l'année passée. Je pensais l'avoir posté, mais en fin de compte non, alors je le post ^^ (Alors, pas besoin de corrections) Je sais que dans l'intro il y a beaucoup de répétition du mot ''Elle'', mais ce n'est pas moi qui l'ai écrit, il fallait choisir un intro et faire un texte avec donc je suis désolé


Perdue dans ses pensées, la jeune fille réfléchissait à cette vie horrible qu'elle vivait et détestait comme la peste. Elle se trouvait laide, idiote et en plus, elle ne servait à rien. Ses parents la détestaient et elle ne comptait même pas pour ses amis. Elle se sentait seule et délaissée.
(À partir de là, c'est moi qui l'a écrit)
Pourtant, il y avait cette lumière si attirante qui la demandait et la complimentait.

Cette enfant désespérée voulait la rejoindre, désirait que cet éclat l'enrobe de ses murmures si doux à ses oreilles. Voulant à tout pris se retrouver avec ce bonheur si séduisant, elle prit une décision. Non sans hésitation, mais après mûr réflexion, elle devint sereine avec son choix. Un sourire illumina son visage qui n'en avait pas accueillit depuis un moment. Se sentant prête, elle fit un pas, puis un deuxième et finalement un dernier. Ces trois petits pas, si simple soient-ils, étaient comme un kilomètre qu'elle aurait couru sans arrêt. Ils étaient longs, épuisants par les émotions qui la bousculaient et c'était un but qu'elle n'aurait jamais pensée atteindre.(J'aime pas cette phrase)

Enfin, elle était face à face avec cette lumière et attendit que celle-ci vienne la chercher. De plus en plus que cet éclat s'approchait, les palpitations de son coeur augmentaient. Un doute apparut dans son esprit : "Et si j'avais prise la mauvaise décision ?". Des souvenirs remontèrent, des moments joyeux, des sourires, des éclats de rire, des visages... L’angoisse s’amplifiaient en elle, comme une boule qui se formait dans sa gorge, l'empêchant de respirer. Elle ne voulait plus et regrettait son choix. La jeune fille releva son visage et vit cette lumière qu'elle trouvait si fabuleuse quelques instants plus tôt. Maintenant, elle inspirait la peur, la souffrance, tout sauf le bonheur. La terreur figea l'enfant sur place et lorsqu'elle essaya de crier, aucun son ne sorti de sa bouche. Il n'y eu qu'un silence qui plane quelques secondes.

Puis le train la frappa de plein fouet. Ce fut le dernier souffle de sa vie. Cette vie, qui au dernier moment, lui fit regretter de l'avoir abandonnée si lâchement.

(J'adore la dernière phrase ^^)
Voilà, vous pouvez dire ce que vous en pensez ! Mais, ne perdez pas votre temps à me corriger, c'était pour l'école