"Galdor, l'étoile de l'espoir : les commentaires"

Recorrection, bah oui, va falloir le faire et le refaire jusqu'à ce que ça soit bon, désoéle ^^

Une jeune fille en pleurs courait pour trouver celui qu’elle cherchait. Scrutant de son regard affolé le décor sombre et attristant, elle ne vit que des corps ensanglantés joncher le sol. Le spectacle qui s’offrait à elle était triste Là, tu te répètes. Je te propose d'enlever le "atristant" de la phrase d'avant et de laisser "scrutant de son regard affolé le sombre décor[...] à voir, le village en entier avait été noirci par les flammes qui avaient dévasté la ville, les maisons, les arbres, les voitures, tout. Cette phrase est maladroite et un peu lourde. Tu pourrais dire "Les flammes avaient noircit le village. Elles avaient dévasté la vile, [...] Cette survivante se trouvait devant sa maison, qui n’était maintenant qu’un tas de cendres. Sa famille n’avait pu survivre à une telle violence.
Elle commença à pleurer et un vide s’installait en elle. Il lui manquait quelque chose. Toute sa famille et ses amis était morts. Elle n’avait plus de chez-soi, quelque part Ici, je pense que "d'endroit où" rendrait mieux. où se réchauffer, se réconforter, être en sécurité, où être heureuse simplement. La seule famille qui lui restait n’était que le garçon qu’elle cherchait. Elle sécha ses larmes, car elle savait que si celles-ci continuaient de couler, ça ne s’arrêterait jamais. Le désespoir l’envahissait et la dernière chose à laquelle elle pouvait s’accrocher Pas de virgule ici était de retrouver son ami, son unique famille. Tu as déjà dis son unique famille, pas besoin de le redire Elle continua son chemin, le cœur rempli de chagrin, à le chercher.
L’orpheline entendit quelque chose arriver de sa droite. À travers de ses yeux remplis de larmes, elle vit un jeune homme qui était grand et habillé d’un long manteau noir. Elle ne pouvait voir le visage de ce mystérieux garçon, car il portait une capuche. Il leva une main tranquillement Ca sonne mieux si tu mets "tranquillement" devant "une main" vers son visage et enleva le capuchon qui cachait son visage. Le garçon avait les cheveux foncé et mi- long, son nez était fin, tout comme ses lèvres, qui elles, avaientt une teinte violette à cause du froid qui régnait dehors. Ce qu’elle vit la marqua à vie : ses yeux d’un bleu clair étaient marqués par Pour éviter la répétition, tu peux dire "empreint de" au lieu de "marqué par" la souffrance et le déchirement.
Elle s’approcha de lui, mais il recula.
-Galdor ! Gal ! Tu es enfin là ! La ville a été brûlée ! Ils sont tous morts ! J’ai peur Gal, qu’est-ce qu’on va faire, aide-moi…
-Je ne peux pas…Je dois partir…
-Non…
-Je n’ai pas le choix, au revoir Olie…
Galdor dit cette dernière phrase à Olie et partit, la laissant seule.
-Gal ! Tu ne peux pas me faire ça ! Tu me l’avais promis ! Ne me laisse pas seule! J’ai peur…
Elle se laissa choir Je pense que tu devrais préciser "au sol" et pleura jusqu’à ce que le sommeil vienne T'avais mis trois "n" à "vienne" ^^ à bout de ses pleurs et l’endorme.

Voila, tout est dans la correction ^^

Merci ma jumelle ^^

Derien

WAOUHHHH ! je tenais à te féliciter concernant le prologue. Quel changement depuis le début, quel travail, Bravo KIBO. Je l'ai lu d'une traite, sans m'arrêter ni buter sur un mot ! du coup, j'en ai un peu oublié de vérifier s'il y avait des fautes tellement j'étais prise das la course de ce pauvre diable !

Pour la suite, va falloir revoir certaines choses notamment concernant les temps... mais pour aujourd'hui moi je reste sur ce prologue parfait !

Merci PB !! Tu peux pas savoir combien je suis content de lire ton commentaire !!! Ça me fait vraiment plaisir que toi, l'écrivaine suprême, me dise cela ! Mais tu as raison, le chapitre 1 est moins bien(surtout que hier je l'ai un peu modifié, donc plus de fautes !!! Mais bon, on verra cela plus tard Merci encore

KiboItami26 a écrit:

l'écrivaine suprême, me dise cela !

heu... modération modération... je suis comme vous Kibo. Pas plus, pas moins. Tu peux être fier de toi. Comme quoi avec du travail et de l'acharnement on y arrive.

XD j'étais quelque peu enthousiasme

J'ai l'impression que tu as encore changé le début !

Chapitre 1

Une jeune fille en pleurs courait pour trouver celui qu’elle cherchait. Scrutant de son regard affolé le décor sombre et attristant, elle ne vit que des corps ensanglantés joncher le sol. Le village en entier avait été était noirci par les flammes qui avaient dévasté la ville, les maisons, les arbres, les voitures, tout. Rien n'avait échappé à l'appétit vorace de l'incendie. Cette survivante se trouvait devant sa maison, qui n’était maintenant qu’un réduite en un tas de cendre. Sa famille n’avait pu survivre à une telle violence. Elle commença à pleurer (pourquoi pas tout simplement : Elle pleurait) et un vide s’installait en elle. Il lui manquait quelque chose. Toute sa famille et ses amis était morts. Elle n’avait plus de chez-soi, un endroit où se réchauffer, se conforter, être en sécurité, où être heureuse simplement. Sa vie ne serait plus jamais pareille.

Elle ressentait une douleur au fond de son ventre, la tristesse et le désespoir se dit-elle. Cette découverte l’abattait, c’est comme si elle ne pourrait plus jamais se relever, elle avait perdu sa raison de vivre, sa joie. Elle aurait voulu que les flammes la consument elle aussi,(point) pourquoi l’avaient-elles épargnée ? Ses pensées étaient confuses, sa concentration et sa lucidité diminuaient. Sa douleur était forte, elle ne pouvait s’empêcher de penser que de s’endormir et ne jamais se réveiller était une idée séduisante.

Mais Cependant, elle ne pouvait pas,(point) son intuition lui disait de trouver la seule famille qui lui restait,(deux points) : le garçon qu’elle cherchait (là j'aurais mis : un garçon du nom de Thomas (par exemple). Elle sécha ses larmes, car elle savait que si celles-ci continuaient de couler, jamais elle ne pourrait les arrêter. Le désespoir l’envahissait et la dernière chose à laquelle elle pouvait s’accrocher était de retrouver son ami. Elle continua son chemin, le cœur rempli de chagrin, à le chercher.

L’orpheline entendit quelque chose arriver de sa droite. À travers ses yeux remplis de larmes, elle vit un jeune homme qui était grand et vêtu d’un long manteau noir. Elle ne pouvait voir le visage de ce mystérieux garçon, car il portait une capuche. Il leva tranquillement une main vers son visage et enleva le capuchon de sa tête. Le garçon avait les cheveux foncés et courts, son nez était fin, tout comme ses lèvres, qui elles, avaient une teinte violette à cause du froid (profite de ces occasions pour planter le décor. Là tu peux dire : du froid de ce début de janvier (par exemple)) qui régnait dehors. Ce qu’elle vit la marqua à vie, la figea sur place ? (point) Ses yeux d’un bleu clair céruléen étaient empreints par la souffrance et le déchirement. Elle s’approcha de lui, mais il recula.

-Galdor ! Gal ! Tu es enfin là ! La ville a été brûlée ! Ils sont tous morts ! J’ai peur Gal, qu’est-ce qu’on va faire, aide-moi… dit-elle sur un ton de désespoir,(point)
à la ligne
mais Galdor la coupa.
- (tiret cadratin) Je ne peux pas…Je dois partir… la coupa ce dernier en secouant la tête.

Son visage était rempli de douleur, il avait dit ça en secouant sa tête, comme pour chasser ses larmes.
-Non…

Les larmes remontaient à ses joues (heu... remontaient ses joues ? genre elles coulent puis elles remontent.. finalement le slarmes ont changé d'avis.. elles retournent au bercail... tu as du te tromper ou alors c'est une expression canadienne) , elle ne pouvait s’en empêcher.

(tu peux éviter les larmoiements à mon avis. On sait qu'ils sont tristes. Tu le dis plein de fois. Ne t'occupes que des dialogues ici à mon avis)

-Je n’ai pas le choix, au revoir Olie… Je t’aime…

Il dit cette dernière phrase à Olie et partit,(on sait qu'il ui dit, pas besoin de le préciser. cela alourdi ton style. Allège Allège...) Il s'éloigna à grands pas, la laissant seule.

-Gal ! Tu ne peux pas me faire ça ! Tu me l’avais promis ! Ne me laisse pas seule! J’ai peur…

Elle se laissa choir sur le sol et pleura jusqu’à ce que le sommeil vienne à bout de ses pleurs et l’endorme.

Bon, pour le moment, je comprends le drame qui accable cette jeune fille. Elle tente de se raccrocher à Galdor, son ami qui finalement la laisse tomber parce qu'il est obligé... on ne sait pas pourquoi. Tout se que l'on comprend c'est qu'il la laisse mais que cela lui fend le coeur. Par contre... on ne connait pas l'identité de cette jeune fille... dommage.

***

Le soleil plombait ses rayons puissants sur son le visage de Galdor, en sueur. qui perlait de sueur. Galdor Il se réveilla en sursaut et s’empressa de regarder autour de lui, soulagé de constater qu'il était dans sa chambre. Il vit sa chambre et fut soulagé de voir que ce n’était qu’un rêve horrible. L'incendie et cette scene avec Olie appartenaient à un cauchemar. Mais ce rêve était trop réaliste, il avait senti le désespoir de son amie Olie, sa tristesse et le froid qui le transperçait. Il n’aimait pas ça et se débarrassa de ses pensées sombres. Se (virgule) se disant que ce n’était qu’un cauchemar comme les autres et qu’il n’avait pas de aucune raison pour de s’affoler. L’air rentrait mal dans ses poumons, inspirant et expirant pour calmer les battements rapides de son cœur, il ferma les yeux et revoyait des images de son rêve, ou plutôt de son cauchemar.Cependant les images l'oppressaient rendant sa respiration difficile. Cela Elles le perturbaient, sa tête était remplie de ces moments horribles qui ne cessaient de le tourmenter.

Gal se rendit à la salle de bain pour s’asperger le visage d’eau froide. Il aimait le contact de celle-ci sur sa peau, elle l’avait toujours aidé à mieux se sentir, à être revigoré. Elle replaçait ses pensées. Son rêve le tourmentait encore un peu, mais il pouvait l’ignorer. Il s’épongea le visage avec une serviette et repartit dans sa chambre. Son intuition lui disait de regarder son cadran. Il vit avec affolement que son alarme n’avait pas sonné. S’il ne se dépêchait pas, on allait lui coller une retenue pour cause de retard. Galdor s’empressa de se préparer, puis courut à sa vieille Oldsmobile Delta 88 Royal 1977. Il s’y installa rapidement et parti en vitesse au lycée.

Quand il arriva enfin, la cloche sonna pour avertir que les cours commençaient dans 5 minutes. Il fit une petite marche rapide jusqu’à son casier puis à sa classe.

A mon avis, tu répétes parfois un peu trop certains éléments. Tu pourrais alléger largement ton texte. Dans cette deuxième partie, inutile de répéter trois fois que son cauchemar le tourmente. Pour moi, une seule fois suffit. Il faut juste trouver le bon moment pour le dire. Maintenant, j'insiste bien : ce n'est que mon sentiment ! à toi de voir...

Merci Pb Je ne pense pas que je l'ai changé En tous cas, pas dans ma mémoire. J'ai compris qu'il faut que j'allège mon texte(allège, allège !!) Et que je me répète trop souvent

Et puis les larmes qui remontent au joues X) j'avoue que ça n'a pas de sens, C'est plutot qu'elles lui remontent aux yeux , mais dans le sens qu'il y a de nouvelles larmes qui lui montent aux yeux (Des larmes qui montent aux yeux, tu connais cette expression ?)

J'aime ! PB a déjà tout dis. Moi je dis, la suite !

Allez au boulot maintenant !

Oui oui
Pb pour le tiret, je sais pas comment faire Je sais que tu l'as dit plein de fois, mais mon probleme est que je n'est pas le même clavier que vous

Pour le tiret Lu, si tu utilises open office, tu peux faire deux tiret du 6 puis un espace, qui donne à peu près ^le même tiret. Mais si comme moi tu ne veux pas qu'il en fasse tout une mise en page différente, mets des tiret du 6 quand tu construit ton dialogue et rajoute un tiret plus un espace après, en partant de la dernière réplique et en remontant jusqu'en haut. Attention, si tu fais un passage à la ligne au milieux de tes réplique, ou dirrectement à la fin de ton dialogue, après avoir transformé les tirets, ça te mettra la réplique précédente en décalage et tu devras tout recommencer.

Depuis le temps qu'on attend le chapitre 1. Je n'ai qu'une chose à dire vu que PB a déjà corrigé.

VIVEMENT LA SUITE !!!!

Merci Amanda Mais je sais pas si je devrais continuer le chapitre ou le finir la et commencer le deuxième. Qu'en dites-vous tout le monde ?

pas fait de plan ? rhhaaa. Et toi ? comment tu le sens ?

Bah au début je voulais continuer, mais la je trouve que ça tombe bien pour un deuxième chapitre, sauf que le premier serait assez petit

pas grave ! le plus important c'est ce que contiennent tes chapitres. Tu dois savoir ce que tu veux "réveler" dans chacun d'eux. Et non le nombre de pages. Mais ce n'est que mon avis. C'est pourquoi, c'est plus facile avec un plan. Tu sais ce qui va se dérouler plus ou moins dans chaque chapitre, où il commence et où il finit. Tu ne te poses pas de questions sur le nombre de pages.

Nooon ! Je t'avais fait un message pour le prologue mais mon ordi a buggé, j'ai tout perdu. Je vais essayer d'aller plus vite je n'ai plus le temps, mais de te redire qd même les mêmes choses... Désolée :s
Pour le plan ca prend pas beaucoup de temps si tu fais un seul tome mais ca vaut vraiment le coup. Ca permet de réfléchir à l'évolution des personnages, aux conséquences de ce que tu as écrit dans le premier chapitre... Et de ne pas faire de contradiction. En résumé, cela permet de s'approprier l'histoire...

Spoiler:

C'est mieux que la dernière fois que je t'ai lu, et pas de fautes d'orthographe ! Un très bon point !

Merci Mwoua, Tout s'éclaire quand tu explique comme ça !

C'est barbant hein, les corrections ! Mais ca fait trop plaisir quand on relit un texte en se disant "bon sang j'écrivais comme ca ! Il y a du chemin de fait..."

Et oui ! Et maintenant il faut que je trouve le courage de tout corriger

Ca vaut le coup, c'est comme ca qu'on progresse... Tu va écrire une suite ?

C'est sûr ! Mais avant je vais corriger, à moins qu'un éclair d'inspiration me passe par la tête, là je vais aller écrire la suite

Prologue

L'haleine en feu, les poumons compressés et les jambes lourdes, il continuait à avancer sous la pluie incessante. Quelque chose le poursuivait, il en était sûr et cette chose n'était pas humaine. Il courait malgré la douleur qui, lancinante, devenait insupportable. Les bruits se rapprochaient, tandis que la bête gagnait du terrain. Le décor sombre défilait (vers lui, devant lui, à ses cotés ?) Selon moi, tu n'as pas besoin de rajouter quoi que ce soit, "défilait" suffit très bien tout seul. . Les arbres semblaient vouloir l'emprisonner, les ombres l’encerclaient et la lune le suivait avec un regard malicieux. J'ai du mal à imaginer l'oeil malicieux de la lune... L'homme n'en pouvait plus, il priait pour que Dieu lui pardonne ses péchés et lui donne la force d’avancer, mais l'homme. Il manque un bout de phrase là non ? Ce condamné vit la créature s’approcher .Il n'en pouvait plus Tu l'as déjà dis une phrase plus haut. et était incapable de se relever. Il tenta une dernière fois de se remettre sur ses jambes, mais la douleur était plus Ici, je mettrais un adjectif : "plus forte, lancinante..." qu’il ne pouvait en endurer. Se résignant, il chercha de ses yeux "des yeux", plus tot. la face de la créature. L’obscurité l'en empêchait. Sa vue commençait à se brouiller. Je pense qu'il vaut mieux mettre une virgule et tout faire en une phrase Mais il réussit à voir le visage de cette chose terrifiante Ici, déjà, tu peux mettre "la" puisqu'on est déjà familiarisé avec la bête, ensuite, tu peux utiliser par exemple "créature" pour éviter la répétition de chose et enfin mettre "terrifiante" avant le nom. Ca donnerait : "Le visage de la terrifiante créature" avant son exécution.

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« Déjà, tu ne peux pas mettre un guillemet plus un tiret. C'est soit l'un soit l'autre. Ensuite, comme le répète sans arrêt PB, le tiret à utiliser est le tiret cadratin que tu peux faire en faisant alt+0151 "—" Et enfin, ne mets pas seulement deux points de suspension mais trois... Et je veux une majuscule au début d'une phrase, même s'il y a trois points avant. -…un homme a été retrouvé mort sur une montagne, non loin de….

- — Ah…. Encore un ! Cria un homme en frappant rageusement de ses poings sur un mur. Ici, ce n'est pas très logique. Quelqu'un qui s'énerve ne dit pas d'abord "ah". "Ah" indique plutôt quelqu'un qui s'en fiche, n'en a rien à faire.

-—Maître..., la virgule est inutile. calmez-vous…. tenta d’intervenir l’un de ses serviteurs.

-—Me calmer !? Comment voulez-vous que je me calme lorsqu’on vient d’abattre un homme des plus fidèles, et serviables que j'avais !? Là, ce n'est pas trop logique non plus. Rien n'indique dans l'annonce de la mort que c'est un homme des troupe de ce "maître". Tu devrais peut-être le préciser dans la première réplique, sinon, la réaction du chef parait exagérée.

- — Maître, Il Ne me met pas de majuscule après des virgules : "il" faut rester calme…. sinon.…vous allez choisir On dit plutôt "prendre de mauvaises décisions" de mauvaises décisions .… bafouilla-t-il. Des points à la fin des phrases !

Sa voie "Voix" tremblait de peur. Son maître le regardait avec intensité, rempli de haine Qu'est-ce qui est rempli de haine ? C'est le regard. Mais comme tu as dit "le regardait", tu mettre "les yeux remplis de haine".. Le valet croyait vraiment qu’il allait y passerCette expression est familière . Le supérieur ferma les yeux avec force, pointa son poing sur ce vermisseau et cria de rage. Un éclair jaillit de sa main et toucha sa cible. Celle-ci tomba à terre virgule sans vie. Le meurtrier se retourna sans un regard devant les confrères de la victime. Tous étaient apeurés devant la force de son pouvoir.

Bon bon bon, c'est bien beau tout ça, mais on va pas corriger 40 fois la même chose hein ? Faut avancer un peu ! Allez, au boulot ! :p

camille a écrit:

Bon bon bon, c'est bien beau tout ça, mais on va pas corriger 40 fois la même chose hein ? Faut avancer un peu ! Allez, au boulot ! :p

j'aurais pas dit mieux !