"Endellia et la pricesse oubliée : les commentaires"

Je me réveillais alors que le soleil se levait et que les premiers rayons traversaient ma fenêtre de chambre (J'aurais plutôt mis "la fenêtre de ma chambre" ). Je m’étirais, prête à me lever et m’assis sur le bord de mon lit. Alors je décidai de me lever (répetitions ... ) de mon lit pour ensuite tirer mes rideaux. Comme à chaque matin le paysage était de toute beauté. Ensuite, je me dirigeai vers mon miroir et y vis ; une jeune femme pas trop grande, mince avec aux cheveux mi- longs et aux yeux bleus royal. En regardant mon cadran, je vis qu’il était 9hoo. Pressée, je me dépêchai de choisir mon habit et partis chez Alice. Rendue à destination, je cognai et après quelques instants, quelqu’un m’ouvrit. C’était la mère d’Alice, une petite femme ronde, sympathique et chaleureuse.
— Ah! C’est toi Élika. Entre aller ne reste pas dehors tu vas attraper froid.
J’entrai, déposai ma veste et enlevai mes souliers. Je ne vis pas Alice au rez-de-chaussée. Donc, je regardai sa mère et elle me disa dit :
— Alice est dans sa chambre, monte elle sera ravie de te voir.
— Merci Mme Pickerson.
Je montai, cognai à la porte et entendis :
— Entre !!!!!! (Ici, je pense qu'un seul point d'exclamation suffirait )
J’ouvris la porte et je vis Alice assise sur sa chaise de travail en train de lire un magazine. Alice était ma meilleure amie depuis ma plus tendre enfance. Elle n’était pas très grande mais avait de longs cheveux dorés. Aujourd’hui, contrairement à hier, elle avait les yeux bleus. Alice était une personne drôle et très gaffeuse. Dans le fond, on a (J'aurais mis "avait" mais je ne sais pas lequel convient le mieux ... ^^) tous besoin de quelqu’un comme elle.
— Salut Alice!
— Salut…
— … ( Ce serait mieux d'exprimer ces points de suspension par une phrase. Par exemple : "Alice ne répondit pas, laissant place à un silence pesant." ou quelque chose de ce genre là )
— Ah ! Désolée, j’étais concentrée dans mon magazine. Tu as vue ! Il parait que dans 5 ans, les banquises vont tous fondre et les phoques n’existeront plus ! Mais c’est horrible !

Plusieurs personnes ne croient pas aux histoires magiques, paranormaux en faites des histoires fantastiques. Alors pourquoi ne pas vous montrer que cela existe réellement ? Un monde où les gens et créatures ne font qu’un.
Comme à chaque jours, le bon temps est la ainsi que le bonheur des villageois. J’habite à Oakley, un petit village situé au nord de Calyptus. Notre village est paisible, tout le monde se connaissent et il n’a rien au monde qui pourrait enlever la joie qui règne ici. Donc, débutons mon histoire. Durant une journée d’automne, où les feuilles recouvraient le village en entier, les oiseaux commençaient à se diriger vers le sud d’Oakley et le froid d’hivers arrivait à grand pas, moi, Élika, comme à chaque jour, Je terminais ma journée de travail et me dirigea vers chez moi. J’habitais chez mon grand-père depuis ma naissance alors je n’ai jamais eu la chance de rencontrer mes parents. Mon grand-père m’a dit qu’ils étaient morts dans un accident de voiture, typique comme histoire. Tout le monde sait que lorsque tes parents t’abandonnent c’est sûr que personne ne va te le dire et t’inventer une histoire. C’est ce que je crois. En faites depuis quelques années, je ne crois plus en rien. Ne me demander pas pourquoi, je n’en ai pas la moindre idée. En me dirigeant vers chez moi, toute emmitouflée dans mon manteau d’hivers, ma tuque également ainsi que mes grosses bottes, je rencontrais plusieurs personnes dans la rue. Dans une petite ville comme Oakley, il est dur de passer inaperçue. Rendu chez moi, je ne trouvais pas mon grand-père nulle part. Il n’était pas au sous-sol ni même au 2eme étages. Alors, j’ai décidé de monter au grenier. Il n’y était pas, au moment où j’allais descendre, un reflet attira mon attention. En me dirigeant vers cette lumière, j’aperçue un livre, disons qu’il ressemblait plutôt à un vieux grimoire comme dans les films exemple : Harry Potter. Je sais que d’habitude lorsqu’il y a quelque chose qui t’intéresse, ce que tu veux le plus c’est d’aller voir ce qu’il cache. Et oui, je suis comme sa également que voulez-vous? Alors, j’ai pris la décision d’aller vérifier ce que cachait ce vieux livre. En m’approchant, j’ai remarqué que ce livre n’était pas écrit en français mais en latin. Je ne comprenais pas le latin mais je savais de quoi cette écriture avait l’air. Le dessus du livre était en cuivre et était marquer un peu partout. En le prenant, Plein de poussière, je le secoua pour mieux le voir. Avant même que je pu l’ouvrir mon grand-père fesa son entrer.