Comme d'habitude, quasi rien à dire ! En plus le titre est sacrément intriguant et.. la suite va-t-elle venir ?
Juste quelques remarques :
Tout d'abord vous répétez souvent que que Laurence est bavarde, que de toute façon cela ne servait à rien d'essayer de la couper... Que Elsa écoute ce qu'elle dit...
Ca fait un peu répétitif à la fin. Au début j'avais l'impression que ca la soulait, Elsa, mais en fait non... Peut-être homogénéiser un peu ?
Elsa O’Connor poussa la porte vitrée de l’agence Cosmoswalley et salua la réceptionniste d’un geste de la main. Comme d’habitude, elle était en avance et laissait dans son sillage l’odeur de son parfum poivré. Remarque pas importante du tout : est-ce que l'histoire du parfum n'irait pas mieux avec la première phrase ? C'est là que vous la montrez en action, je verrais plus le "sillage" là-bas.
Cette filiale américaine de cosmétiques n’avait pas hésité à faire appel à cette jolie brune aux cheveux longs affichant une telle détermination dans ses grands yeux verts. Elle respirait tellement la santé, l’intelligence et la malice que tout le monde semblait l’apprécier.Répétition de « cette »
« telle » puis « tellement »
Je trouve que le « telle » fait bizarre, non ? J’aurais peut-être mis qch du genre « sa détermination se lisait dans ses yeux noirs »
La malice pour moi c’est pas très positif… Bonne humeur ? Complicité ?
Tout le monde dans l’entreprise, je suppose. Peut-être à ajouter… Ou pas !
D’un pas décidé, elle traversa le couloir en faisant un signe à chacun. Elle s’arrêta dans l’entrebâillement de la porte de Laurence, la comptable. Elles avaient créé de réels liens d’amitié. Celle-ci, âgée de trente-cinq ans, était toujours souriante et positive. Elle prenait beaucoup de plaisir à raconter sa vie familiale tumultueuse. En apercevant Elsa, Laurence bondit de sa chaise :« à chacun » => J’ai l’impression qu’elle est trop pressée pour s’arrêter dire bonjour à tout le monde mais qu’elle veut quand même leur montrer qu’elle pense à eux… Le « à chacun » me paraît étrange mais il vous pouvez peut-être refaire la phrase en rajoutant des infos… « Elle traversa le couloir d’un pas décidé mais prit le temps de saluer de la main chaque personne qu’elle croisait »
Le « âgé de trente cinq ans » peut être revu aussi mais franchement je cherche la petite bête ! C’est juste que je verrais bien un lien entre son caractère et le fait qu’elle soit en pleine jeunesse…
Je t’assure qu’il dépasse les bornes !Le « je t’assure » casse un peu l’effet du « il dépasse les bornes », non ?
Comme tous les lundis, elle avait droit au débriefingBriefing ? Debriefing ? J’aurais dit le premier mais j’y connais rien !
hors paire. hors-pair ? Aucune idée mais word est pas content…
— Mais quoi ? Depuis quand tu refuses une invit ?Soit je me trompe lourdement, soit elle n’a pas refusé…
Elle rejeta ses cheveux en arrière, ajusta sa jupe et se dirigea au devant de son homologue qui l’attendait déjà.Au-devant
À midi, Elsa avait retrouvé sa bonne humeur et son entrain, son entretien s’était bien passé et tout portait à croire que ses projets de lancement de cette nouvelle gamme de produits verraient le jour prochainement.Tout la portait à croire ?
Que cette nouvelle gamme de produits seraient bientôt lancée ?
Après un rapide coup d’œil dans le reflet du miroir de poche glissé en permanence dans son sac à main, elle se remit une touche de rouge à lèvres, se pinça les joues pour se donner bonne mine.« après avoir jeté un rapide coup d’œil à son reflet dans le miroir qu’elle baladait toujours dans son sac à main » ? Je crois que c’est les propositions, ou peut être l’ordre qui me gênait. Je sais pas vraiment.
« et se pinça les joues » ?
De son père irlandais au fort caractère, militaire à la retraite dont elle tenait la posture élancée et fière. De sa mère bretonne de pure souche, elle avait hérité son entêtement et de sa malice.« à la retraite, dont elle tenait »
« son entêtement et sa malice » ?
Elsa, à qui l’appétit ne faisait jamais défaut, s’installa avec un plateau bien rempli devant sa collègue, prête à affronter son récit. Sans compter que systématiquement Laurence était au régime le lundi donc, elle prétendait ne pas avoir faim et ne s’accordait qu’une pomme.[.i]
Je ne comprends pas le « sans compter que »
[i]Elsa trouvait puéril mais amusant la diète que Laurence s’imposait convaincue d’être trop grosse pour trouver enfin « Le » prince charmant. [ /i]
« Puérile mais amusante »
« s’imposait, convaincue »
[i]— Allez, je t’échange ce gâteau contre ce café,Mon gâteau ?
J’ai adoré ce passage d’échange, où elles montrent qu’elles se connaissent bien et tiennent l’une à l’autre…
— Pour qui crois-tu que j’ai pris cette tarte ? et Toc !Je sais pas si mon copier coller à buggé… « Et toc » ?
Pour bien comprendre la situation de Laurence il faut assimiler quelques précisions :J’ai trouvé le « assimiler » moyen… Mais je chipote, comme toujours ^^
À trente-cinq ans, elle avait épuisé deux maris pourtant très différents l’un de l’autre mais ayant pour point commun une patience exemplaire.Les deux oppositions qui se suivent c’est un peu hard.
Chacun avait eu droit à un enfant qui bizarrement passaient pour des jumeaux et tous deux affreusement adorables.Je comprends ce que vous voulez dire mais techniquement le verbe n’a pas de sujet.
Bien évidemment pour faciliter les choses, deux belles-mères, hélas très présentes et cerise sur le gâteau, un chien que personne n’avait réussi à dresser mais que tout le monde trimballait partout provocant des tsunamis imprévisibles et cocasses.Pas de verbe ?
Le hélas est de trop je trouve
« et qui provoquait » ?
La vie de Laurence était un tourbillon donnant le vertige à quiconque.Qui aurait donné le vertige à n’importe qui ?
Laurence faisait les demandes et les réponses, les commentaires et parfois mimait certaines scènes pour mieux argumenter. « posait les questions et donnait les réponses » ?
Elle était si drôle et volubile qu’Elsa se régalait d’écouter ce discours dramatico-comique de ce début de semaine.Ses discours ?
(répétition de « ce »)
Elle s’installa confortablement pour profiter de ce moment devenu rituel mais contre toute attente, elle se laissa aller à une douce somnolence.« Ce moment rituel » ?
Contre l’attente de qui ? D’elle ? Pas de nous, en tout cas…
Lorsque celle-ci, debout devant elle, haussa le ton pour feindre la colère Debout ? Je la voyais assise…
— Tu ne m’écoutes même pas ! S’offusqua Laurence,Ca se peut que word ait gentiment ajouté un majuscule..
Elle dormait mal depuis quelques temps et se réveillait souvent en pleine nuit. Une sensation désagréable d’être secouée dans son sommeil perturbait ses nuits, la laissant vidée de toute énergie au moment de se lever.Répétition de nuit
Rien d’autre à signaler et comme je l’ai dit, j’ai cherché la petite bête ! Quand même elle me soule Laurence, j’aimerais bien savoir pourquoi elle se réveille comme ca, Elsa !!