"l'élue : les commentaires"

La version officielle c’est qu’il y a eu une onde…
prétend qu'...
ou
est qu'...
(mais c'est ca fait pas très beau :s)

La version officielle c’est qu’il y a eu une onde…
On y était

Elle ne réussit pas à finir sa phrase, écrasa un sanglot.
Bah ouai mais bon... Ils étaient pas les seuls dans la salle... Vu comme tu le dis on a l'impression qu'ils sont tous morts !

Lorsqu’Élisabeth ouvrit à nouveau les yeux, elle constata par la fenêtre que le ciel était presque noir. Quelques trainées violettes donnaient un air fantomatique au ciel.
Ah et j'ai oublié : pourquoi "onde de love" ? Tu n'expliques pas du tout alors que c'est... bizarre ! ^^

La fin de la soirée se poursuivit dans le salon où Marie avait réussi à traîner sa fille décrétant qu’il était temps qu’elle sorte un peu de son antre.
en décrétant

La réalité reprenait le dessus et les sombres pensées qui l’avaient assaillie semblaient s’éloigner à mesure que Marie agrémentait leur conversation de potins du quartier.
des potins

Marie fût prompte à répondre.
fut

— Comment va Éric ? coupa-t-elle.
la coupa-t-elle
l'interrompit-elle

Il est rentré le lendemain chez lui.
Il est rentré chez lui le lendemain
Je ne sais pas pourquoi mais régulièrement je trouve que tu mets les infos de temps à des endroits bizarres

Valérie m’a raconté que juste avant ce… ce tremblement vous vous étiez disputés.
le... tremblement de terre, vous (...)

(étonnant qu'un tremblement de terre ne touche qu'un bâtiment... Fuite de gaz ? Je sais pas...

— Lorsque j’ai vu Éric, le premier jour à l’hôpital, il semblait s’en vouloir énormément, il n’arrêtait pas de bafouiller : c’est ma faute. Pauvre garçon, il m’a fait beaucoup de peine.
Mdr ! Et bah oui, il avait pas qu'à la laisser avec le méchant Sam et lui apprendre à gérer ses "cauchemars" !!

— Tu veux me raconter ce qui s’est passé avec Éric ? avança sa mère prudemment.
avec prudence ?

— Non, laisse ! Ça ira merci. Bonne nuit Marie.
Non, je ne me ferais jamais à l'idée qu'elle appelle sa mère par son prénom...

Un rayon du soleil chatouilla le nez d’Élisabeth.
de soleil

Cette nuit pas de cauchemar, une mer de calme et d’étoiles.
Cette nuit, pas de cauchemars, seulement une mer de calme et d’étoiles.


Elle la surprit la tête penchée dans un livre de cuisine, un air de concentration extrême.

Avec une expression


—Ne te plie pas en quatre pour moi Maman.
moi, maman
Ah !! Enfin un "maman" !! C'était à se demander si c'était bien sa fille...


Un mouvement retint son attention et elle crut revenir des semaines en arrière lorsque pour la première fois elle avait vu Éric.
arrière, lorsqu'elle avait vu Éric pour la première fois.

Élisabeth se tourna vers la fenêtre de la cuisine et observa le ciel. Un mouvement retint son attention et elle crut revenir des semaines en arrière lorsque pour la première fois elle avait vu Éric (...) un beau garçon avec des cartons sur les bras, et c’est encore ce qu’elle observait aujourd’hui.
Ah oui donc finalement il est pas dans le ciel... ^^ C'est ce que j'avais cru au début ! C'est vers le haut qu'on regarde, nous... Tu devrais peut être ajouté : "un mouvement au sol retint son attention" ou qch du genre.

Aucune hâte dans ses mouvements, elle eut le sentiment qu’il se sentait obligé de venir la voir ; elle en fût dépitée. Marie ne lui avait-elle pas assuré qu’il avait tenté de la voir à plusieurs reprises ?
venir la saluer

—T’en vouloir ? s’étonna t-il, de quoi ?
- T'en vouloir ? s'étonna-t-il. De quoi ?

Elle geignait presque maintenant
Oh mon dieu, c'est un peu trop pitoyable quand même ^^

Il jeta un regard en direction de sa maison, parut hésiter et revint vers elle. Alors doucement, délicatement, il la prit dans ses bras.
Oooooooh ! Ce qu'ils sont mignon ! *sous le charme*

(le "égosilla presque" n'est pas très beau par contre ^^)

Si au début il n’osa pas la serrer, il finit par l’étreindre plus étroitement la berçant, caressant ses cheveux et murmurant des mots qu’elle ne comprit pas.
La serrait ? C'est pas très romantique... Il n'osa la tenir trop fort ?

Il ne pouvait pas partir ?
partir !

Elle devait être dans l’un de ses cauchemars et allait se réveiller ! Oui c’est cela ! Elle allait se réveiller !.
réveiller !
L'histoire du cauchemar c'est comme tout à l'heure... revu et corrigé... :s

Marie s’était éclipsée consciente d’être de trop dans la pièce.

, Marie s'étant

Ce dernier mot résonnait inlassablement dans sa tête comme un fer rouge dans son crâne.
Bien !

— Élisabeth, commença-t-il, il faut que tu te calmes absolument. Tu m’entends ?
absolument que

Tous ces souvenirs.
ses

Il y a forcément autre chose ?

Sans aucun doute quelque chose le torturait également.
Quelque chose devait également le torturer.

Il se pinça le nez et ferma les yeux.


Il la regardait suppliant.
regardait, suppliant

Mais toi, est-ce que tu me diras ce qui se passe réellement ?
impersonnel : ce qu'il se passe réellement

La sonnette de l’entrée retentit et presque aussitôt Élisabeth entendit une voix familière qu’elle aurait reconnue entre toutes.
familière OU qu'elle aurait reconnue entre toutes, mais les deux c'est un peu lourd...

— Samuel ! Je crois qu’Élisabeth n’est pas en état de te recevoir… repasse plus tard tu veux ?
OMG c'est pitoyable ! Elle a aucune fierté cette fille ?! --'


Ah oui ? vraiment ?
Majuscule... Mais c'est une maladie !! xD Tu n'en mets pas qd il y en faut et quand c'est des incises, si !

Tu as besoin d’un exutoire, et bien lâche-toi. J’adore jouer les punshing ball.
exécutoire, non ?

— Ah oui ! Quelle histoire ?
Quelles histoires

Vous avez créé un club « des gens à qui il faut faire confiance »
Je mettrais plutôt un pont d'exclamation à la fin

Ça me mène où moi ? hein ?
Majuscules !! xD (il vaut mieux en rire qu'en pleurer ! )

— blablabla…. Ce sont des histoires…
Majuscule, un point en trop et à part ca... MDR !!

— Tu penses que c’est de ta faute ?
J'aurais plutôt répondu : et on quoi cela l'empêche d'être ton ami ?

— Oui….
Un point en trop...
Je ne sais pas….
Un point en trop...

— Ah ! là c’est le psy qui parle !
Majuscule !

Élisabeth était calme à présent, elle devait avouer que cette petite discussion s’était révélée efficace.
Efficace ? Ils ont rien dit ! Si tu as un psychologue dans ton entourage, tu pourrais peut être lui demander ce qu'il aurait fait dans ce cas là, non ? Ce serait peut être plus réaliste.


Plus tard, Élisabeth se souvint d’une remarque faite par le médecin à l’hôpital au sujet de « ses deux fiancés » et Élisabeth questionna sa mère pour en savoir un peu plus
Le début de la phrase est bizarre

Retourner au lycée lui paraissait inconcevable encore en plus sans Éric.
, encore

Elle n’arrivait pas à comprendre comment, à quel moment, il était devenu si important pour elle.
Comment et à quel moment

Il tint sa promesse mais encore plus rapidement qu’elle ne l’avait redoutée.
Elle redoutait qu'il vienne trop tôt ?

La jeune fille n’y avait pas mis les pieds depuis l’incident au réfectoire. Elle était très nerveuse rien qu’à l’idée d’y remettre les pieds.

Elle fut surprise par le froid qui avait fini par s’installer laissant une fine couche humide sur les pare-brise et sur les toits des maisons.
, laissant
ou
en laissant

Tandis qu’elle avançait sur le chemin, des pensées arrivèrent pêle-mêle dans sa tête.
Sa tête était remplie de pensées qui s'entrechoquaient ?

Elle se doutait qu’il devait être déçu, probablement qu’il lui en voulait terriblement.
2 adverbes en -ment
Il devait être déçu et lui en vouloir terriblement.

— Pas grave ! Dis-moi plutôt ce qui te turlupine.
mdr ! Mais ca passe, je pense.

Il ne répondit pas tout de suite mais ses mains sur le volant se contractèrent légèrement et pourtant c’est un visage radieux qui lui présenta.

Il ne répondit pas tout de suite et ses mains se contractèrent sur le volant. Pourtant il lui présenta un visage radieux.
Si tu gardes la première phrase, il faut mettre l'impersonnel "qu'il lui présenta"

— Élisabeth, tu vas arriver en retard. Enfin, ce n’est pas que ça me dérangerais que tu restes avec moi mais ta mère ne serait pas d’accord, je crois…
Et lui il n'a jamais cour ? On n'en entend jamais parler...

À coup sûr, elle apparaissait comme une survivante de l’holocauste ou encore comme un démon revenu de l’au-delà.
Mais elle n'était pas toute seule dans le self ? On ne sais pas s'il y a des morts, d'autres blessé, et maintenant tu parles d'holocauste ! Il sont tous morts ??

Matt ne lui adressa pas la parole, une œillade pas ci pas là mais rien qu’elle ne put ignorer.
par

Presque à chaque fois qu’elle pénétrait dans une salle de cours, la chaise vide à côté d’elle lui ravivait une douleur sourde qu’elle tentait désespérément d’enterrer au fond d’elle même.
d'elle ravivait..

Ils l’attendaient dans la cour, embarrassés ne sachant pas comment s’y prendre avec une rescapée de l’autre monde.
Ah bon ?? Encore ! Mais ils devraient plutôt être ravi de son retour non ? Je ne sais pas, ce serait une amie j'aurais plutôt tendance à lui sauter dans les bras plutôt qu'à la regarder bizarrement !

Ainsi les jours, les semaines passèrent, monotones, froids, auréolés parfois d’une sortie avec Samuel ou Marie.
froides auréolées

Mis à part les quelques cauchemars habituels, la vie aurait pût paraître agréable pour la jeune fille.
aurait pu

Elle adorait ses deux amis mais parfois elle ressentait comme de l’étouffement ou était-ce le lieu empli de souvenirs ?
Djamimila a soudainement disparu..

les carrés d’herbes fraiches
pluriel ? Ou les carrés d'herbe fraîche ?

« Les monstres n’existent que dans les films… que pourrait- il m’arriver dans l’enceinte du lycée ? ».
Bah ca , on se le demande !!