"l'élue : les commentaires"

C’est avec émerveillement qu’elle découvrit l’extrémité de la structure qui se terminait en arc de cercle où trônait une fontaine.
Heu... Je suis peut-être hyper exigeante mais franchement, je suis pas convaincu...
Je pense que tu pourrais mettre un point après structure et refaire une phrase avec le reste, parce que la ca fait un peu beaucoup en peu de temps... On passe du coq à l'âne et l'image ne nous vient pas bien en tête. Avec le "trône" on dirait que la fontaine est au-dessus de la structure. Après m'être contorsionné le cerveau je suppose qu'elle est en fait en dessous ?


L’eau jaillissait d’une corne d’abondance qu’une fée tenait délicatement entre ses mains, pour ruisseler sur les plis de sa robe finement ciselés et tintait une musique fraîche et délicieuse.
Heu... désolée ^^ Toujours pas convaincue...
surtout le "d'une corne d'abondance qu'une" et le "pour", idem pour le "et tintait". L'eau ?
=> De l'eau fraîche jaillissait par une corne d'abondance que tenait la fée avant de ruisseler sur les plis de sa robe finement ciselés et de s'écouler irrégulièrement dans le bassin, ce qui créait un doux clapotis.
Je crois qu'il restera un problème avec le "la" bien déterminée... :s Et je n'ai pas tenu compte des phrases autour. J'espère que cela te donnera quand même des idées.

Le bassin, en pierre blanche, éclatait de lumière au centre de toute cette verdure.
pas de virgules
pierres blanches
Au centre ? J'aurais plutôt dis : parmi toute
ou "Le bassin était taillé dans de la pierre blanche et, entouré de verdure, il resplendissait"

Le délicat visage de la sculpture, affichait un sourire mutin tandis que sur son épaule dénudée, un oiseau observait le jeu des gouttelettes.
Pas de virgule ^^
Sinon nickel !

Par terre, une couverture était étalée sur laquelle des couverts avaient été soigneusement disposés.
Hum..... Je suis insupportable ^^ J'ai encore buté sur le 'étalé"... Udem pour "sur laquelle", cela ne va pas il est trop loin de "couverture". Je n'accroche pas non plus avec le passif...
déposée ? Une couverture avait été déposée au sol et des couverts y avaient été soigneusement placés ?
Ou bien
On avait déposé au sol une couverture sur laquelle des couverts avaient été soigneusement disposés ?
Cela règle le problème du "laquelle" qui est quand même très génant, franchement. Aller une dernière proposition ^^ Il me semble que tu tenais à ce que "Par terre" soit au début de la phrase.
Par terre, on avait déposé une couverture sur laquelle des couverts...
Mais je préfère vraiment la proposition d'avant...

Mais, je le dis déja ??? encore la moquette ? Mwoua il faut qu'on parle...
Tu dis qu'il n'est pas dans la pièce, mais tu ne dis pas qu'Elie y entre...
Tu ne vois pas ce que je veux dire ? C'est comme si tu disais :
Ils discutaient dans le couloir. Éric n'était pas dans la pièce. Élie s'assit et guetta la porte.
Tu vois ? (c'est caricaturé ^^)
Il vaut mieux dire :
Ils discutaient dans le couloir (ou je ne sais plus quoi) puis Elisabeth pénétre dans la salle. Eric ne s'y trouvait pas, alors elle s'assit et guetta la porte...
Je ne sais pas si tu me comprends mieux... ?

(NON pas la moquette !!! ) Tu fais une fixette ou quoi ?? Il y a même pas de moquette chez moi !

Mais alors là euhhhhh.... j'ai un doute. dis ? tu lis bien l'élue ? oui ? MAtt terrorisé par quoi ? Oula ... vraiment faut qu'on parle...
Non mais tu imagines ? Il est là tranquille à se fiche de la tête d'Élie, et d'un coup il la trouve irrésistible ! N'importe qui flipperait (à cause de ces émotions, pas d'Élie --'), ou au moins se sentirait un peu mal, je ne sais pas.

Elle se sentait sale ; elle ne savait pas si ce sentiment venait du contact, aussi futile soit-il, qu’elle avait eu avec Matt ou du fait qu’elle se dégoutait elle-même.
futile.. rapide ? court ?
... avec Matt, ou du fait qu'elle se dégoûtait...
Je reprends :
Je pense que tu pourrais remplacer "futile" (un peu extrème) par "rapide" ou "court"
Et il faut mettre un accent circonflexe sur "dégoutait"
C'est plus clair ? ^^

MDR ! j'vais essayer ! allô ? allô ?.....

Elle réalisa qu’elle était encore en pyjama, les cheveux défaits, la mine grave. Mais ce n’était pas ce qui semblait inquiéter le jeune homme.

—Tu es toute pâle... Qu’est-ce qui t’arrive ?
Un peu dommage. Tu aurais pu enchaîner direct par "Elle lui tomba dans les bras" ou je ne sais plus trop quoi... On avait compris...
"la mine grave", ca ne me plait pas trop... J'aurais plutôt mis : Elle réalisa qu’elle était encore en pyjama, décoiffée, et le visage défait à cause de ce qu'il venait de se produire."
Comme toujours, c'est juste pour te donner des idées...

S’il parût désarçonné par l’attitude son amie, il ne le laissa pas apparaître.
parut
pas paraître

Elle ne répondait pas seulement à la question d’Éric, elle tentait également de se convaincre elle-même.
Bien !!

— Éli… Hum…Si tu continues comme ça, je ne pourrais plus me contrôler.
Quoi, il va se transformer en loup garou ? xD Je trouve cela un peu exagéré, ce n'est plus crédible...

—Excuse-moi…. j’avais besoin… comment dire, chuchota-t-elle.
hésita-t-elle ?

Un coup tu ne veux pas qu’on t’approche à moins de cent mètres et aujourd’hui c’est les feux de l’amour, s’amusa-t-il.
qu'on s'approche, il me semble
Les feux de l'amour !! xD

De temps en temps, entre chaque classe, Éric lui prenait la main et la jeune fille se laissa faire bien que doucement son sentiment de dégoût d’elle-même revenait la lanciner.
Si tu mets entre chaque classe, de temps en temps ne sert à rien... ;D
se laissait faire (habitude, action répété => impft)
doucement => peu à peu (correspond mieux à la progression : entre chaque cours...)
son sentiment de dégoût prenait de l'ampleur, de l'importance, se développait.... Je trouve que le "lanciner" ne va pas...

. Il lui avait largement expliqué ce qu’il attendait de leur relation ce dimanche.
relation, relation, relation... Tu utilises sans cesse ce mot... Tu pourrais peut être chercher des synonymes ? Rapport ?

Elle pensa avec désespoir que cette journée serait encore un enfer.
Avec désespoir, elle pensa que...

À midi, ils étaient tous réunis à la même table, Éric, Laurent, Valérie et Djamila quand cette dernière la secoua de son agonie mentale.
C'est bien de dire les noms mais là, c'est un peu malhabile non ? Comme ca, au milieu d'une phrase... A la limite, il faudrait insérer quch comme "blablba. Eric, Laurent (etc), Djamila... tous était réunis"
Sais pas...

— Hou, hou ! Nous ferais-tu l’honneur d’être avec nous ?
Nous ferais-tu l'honneur de nous rejoindre ? De revenir parmi nous ?

Elle s’en voulu davantage
s'en voulut

C’est l’impression qu’elle se faisait de leur relation.
C'était
Ah non, encore ce mot !!

—Non excuse-moi. J’étais perdue dans mes pensées…
Non, exc...

—Non, alors là je t’arrête tout de suite. Primo, c’est pas le genre d’endroit dont je raffole et deuxio, je n’accepte rien de Matt ! Pas pour moi, désolée ! Par contre vous, allez-y.
Heu... Quelle est l'utilité de la dernière phrase ?

Inconsciemment Élisabeth se recroquevilla, elle attendit l’avalanche de reproches.
Qd on est furieux en général on ne se calme pas direct avec un regard, non ? Surtout qu'elle en a pas mal à vider...

déclara-t-elle sur un ton victorieux.
conclut-elle

—Désolée de te l’annoncer mais puisqu’elle n’a pas le courage de te le dire, tu as été coiffé au poteau !
Oh ! Oh ! Oh la... Oh la... (bon on va rester polie pour les mineurs ! )

Ses yeux étincelaient d’une colère mal contenue. Élisabeth avait blêmi et regardait incrédule, Djamila.
...et la fixait, incrédule. ?

« La traitresse avait osé ! »
Pourquoi des guillemets ? Si tu restes à + que parfait, c'est de la narration... Pour des paroles rapportés, il faudrait mettre du présent... ou du passé composé.

Comment celle qu’elle prenait pour sa meilleure amie avait pût la trahir à ce point ?
put
je crois qu'il manque un point entre le guillemet et la phrase.

Seul, Éric conscient du sous-entendu fixait Élisabeth qui capitula, le nez dans son assiette en attendant l’orage.
les autres n'ont pas compris le sous entendu ?
je n'aime pas trop la fin de la phrase
=> Les autres se détournaient, gênés. Seul Éric continuait à la fixer. Élisabeth capitula et plongea le nez dans son assiette.
Tu peux ajouter qch comme "elle ne prononça plus un mot".

C’est Laurent qui le premier se leva, son plateau à moitié plein, il observa Élisabeth d’un air désolé.
Point il observa
ou observant Elie
mais là ca ne va pas bien, je trouve.

Djamila se redressa brusquement et s’éloigna vers la sortie suivie par Valérie
Les plateaux ont subitement disparus ?

a jeune fille inspira profondément avant de lever la tête vers lui et rencontra son regard.
... avant de lever la tête. Elle rencontra son regard, et ce fut un choc.
(vers lui ne va pas, je trouve)

Elle comprit qu’il souffrait le martyre !
Ouai bon ca va ^^ On a compris qu'elle brisait les cœurs mais tu exagères un peu je trouve ! Attention à rester crédible...

mille reproches auraient été préférables plutôt que ce regard.
majuscule
répétition de regard.

Elle se fit l’effet d’être un monstre.
Elle eut l'impression...

Pas de celle que l’on ressent lorsqu’on a froid, mais plutôt une décharge violente.
Pas comme celles que l'on ressent lorsque l'on a froid, mais plutôt comme une décharge violente

Ses mains tremblèrent, sa tête parut exploser au fur et à mesure que ses pensées la noyaient dans une avalanche de sentiments de fureur contre elle-même.
Ses mains tremblaient et elle crut que son crâne allait exploser tandis que ses pensées s'emmêlaient dans une avalanche de fureur. Entièrement dirigée contre elle même.

Elle n’eut pas conscience de la suite, les cris, le bruit du verre qui éclate, les portes qui volent, tout cela lui parvint à travers un immense brouillard et elle perdit connaissance.
de la suite, des cris. Du bruit du verre qui se brise, des portes qui volent... Tout cela ne lui parvint qu'à travers un épais brouillard. Puis elle perdit connaissances.
(immense brouillard... le verre qui éclate... c'était un peu bizarre. ^^)
La fin est é-nor-me !!

Était-elle au paradis ?
Oh non pitié ! ^^ C'est trop bateau ! Revu et corrigé...

Elle reconnut la voix de sa mère, puis un bruit de chaise qu’on traîne, des rideaux qu’on ferme d’un coup sec
que l'on traîne, de rideaux

Elle distingua une chambre d’hôpital et retint un cri de stupeur
Elle reconnut une chambre d'hôpital, trop impersonnel, et ... Quoi ? Ben elle a de l'énergie, elle !

Marie revenait vers elle et lui prit la main.
revint

Sa voix forte perça les dernières volutes d’inconscience d’où émergeait la jeune fille. Marie s’esquiva discrètement.
derniers (un volute !?)

Les rares fois où elle était venue ici, étaient exceptionnelles.
pas de virgule
Bah... elles étaient rare, quoi ^^ Tu te répètes...

Notamment lorsque la jeune fille était plus petite et qu’il n’y avait pas de solutions de garde.
Bah.. Quand elle était jeune fille, quoi ! Tu te répètes ! ;D

Elle eut un recul qui amusa le médecin.
un mouvement de recul

— Élisabeth, tu vas pouvoir rassurer tes fiancés.
Aaaah !! mdr ! Mais elle ne se doute pas de qui il parle ??