Mdrrrr moi je dis que tu sais écrire, seulement que tu fais des fautes d'inatention et qu'il y a certaines chose à retravailler... ^^ Ne doute pas de ton talent, ou tu ne pondras jamais plus rien de bon !
Voila ma correction, et j'ai compris pourquoi "trous" !!!!!! ^^
La lumière de l'aube traversait la baie vitrée.
David, affalé sur le parquet humide, ouvrit un œil lorsqu'un des rayons du soleil vint à lui effleurer le visage. Sa peau semblait pâle et déshydratée. Il tenta de se relever lorsque la douleur lui provoqua un rictus. Et de ses jambes maigrelettes, il souleva
toutJe pense que tu peux enlever "tout", pour rendre ta phrase plus légère son corps lourd et fébrile.
Dans sa plus grande incrédulité
, il analysa tout d
'abord
Tu fais toujours cette erreur dans ce texte. Penses-y. l'endroit dans
lequel Sans espace entre le et quel il se trouvait. Jamais encore il n'avait vu un pareil appartement. Tout était grand et lumineux. Rien ne manquait, comme si chaque petite parcelle de chaque m² avait été soigneusement analysée pour qu'au final, tout l'ensemble de cet espace paraisse luxueux. On y trouvait toute
s sorte
s de décoration, passant de l'art contemporain à un
e Un ensemble (masculin) ensemble de tableaux très anciens. Certains d'eux paraissaient avoir été dessinés par des âmes tristes. On y voyait des paysages morts, sombres et lugubres ou encore des visages dénués de sentiments qui semblaient avoir étés persécutés par une vie trop dure. Une télévision se trouvait à coté de l'un d'eux, contrastant
(Avec, non ?) une certaine harmonie.
David fit quelques pas dans le salon avant de se hâter vers la sortie. Une porte en bois se dressait devant lui. Il inspecta d
' ! abord à travers le judas et y trouva un couloir sans fin, tapissé de rayures grises sur un fond blanc. Il tenta ensuite d'ouvrir la porte en gardant des yeux ce long couloir, mais en vain. La porte ne s'ouvrait pas. David insista mais rien, elle restait verrouillée. N'insistant pas davantage, il regagna le salon d'où il s'empara d'une vue surprenante, plongeant sa tête à travers les longues baies vitrées. Il n'y avait aucun doute, il se trouvait à Chicago. Soulagé de savoir qu'il n'avait pas bougé de sa ville. Tout semblait si différent de cet angle. Jamais il n'était monté à une pareille altitude.
Tout y était si beau.
Le reste de l'appartement était aussi sans issue. Aucune chance de sortir, David y était bloqué, résolu à trouver une sortie avant qu'il en devienne fou. En examinant le reste des pièces, il trouva d
'abord un couloir qui donnait sur une chambre ainsi qu'une pièce comportant la salle de bain et les toilettes. Une autre pièce, beaucoup plus petite que les deux autres, était entièrement vide. Elle devait probablement servir de rangement pour les appareils ménagers.
Puis une chose le frappa, un détail qu'il n'eut pas remarqué la première fois, un peu comme si ces trous s'étaient formés pendant qu'il se promenait à l'intérieur de toutes ces pièces inhabitées. Des trous de la taille d'une balle de tennis étaient plantés là, de part et d'autre du mur. Mais pas seulement celui du couloir. Il y en avait aussi sur ceux de la cuisine, au dessus de la table de travaille et en angle avec la porte d'entrée. Le salon en était aussi couvert, arborant chacun une place stratégique, dessinant une ligne imaginaire courbée. Ce morceau est maladroit. Tu parles des trous avant de les avoirs annoncés. Quand tu dis "un peu comme si "ces" trous...", tu ne peux pas utiliser le demonstratif là, puisque justement, tu n'en a pas parler avant. Dans ce cas, on ne comprend pas d'où sortent ces trous. Tu peux alors mettre par exemple "Puis une chose le frappa. Des trous de la taille d'une balle de tennis étaient plantés là, de part et d'autre du mur. [...]. Un détail qu'il n'eut pas remarqué la première fois, un peu comme si ces trous s'étaient formés pendant qu'il se promenait à l'intérieur de toutes ces pièces inhabitées." Tu vois ? David inspecta l'intérieur du premier qui lui venait et y trouva seulement de l'obscurité. En criant à l'intérieur (ou plutôt en imitant une toux grave accentué d'un O), il eut l'impression d'entendre sa voix résonner de l'autre bout dans un léger écho. Il attendit quelques secondes mais aucun son n'apparut en retour, ce qui lui aurait apporté la preuve qu'il n'était pas seul. La solitude était une chose qui commençait vraiment à l'angoisser, en plus du fait d'avoir été enfermé dans un lieu inconnu par Dieu sait qui.
Il s'assit sur le canapé en cuir noir qui faisait angle avec le mur et s'enfonça en arrière, jusqu'à poser ses jambes sur la table basse qui se trouvait en face de lui. Inspirant profondément (les yeux clos)
, David se mit à réfléchir. Selon ses propres dires, tout avait une raison logique, rien ne se faisait par hasard. Voilà par quoi il commença son analyse.
Premièrement... Où étais-je hier soir ? Ses souvenirs se limitèrent à une personne : Amanda Harris, avec qui il travaill
ait Tu as commencé au passé, tu ne peux pas mettre du présent, comme ça, alors que tu n'est pas dans la pensée (à la première personne) depuis de nombreuses années, et avec qui il s'
était Idem lié d'une amitié incertaine. Mais cela n'était pas suffisant. Amanda n'était ni le problème, ni même la solution de sa présence ici... Il lui fallait donc chercher à nouveau. Deuxièmement... Ses pensées étaient troubles et brouillés. Il se massa les tempes dans l'espoir d'un nouvel indice. Donc... Je devais sûrement être avec elle avant de me retrouver ici. Si seulement je pouvais me souvenir du lieu où nous nous trouvions.
Le salon – se trouvant en plein sud – se fit frapper par une forte chaleur dû à un soleil chaud d'été.
Ici, tu n'as pas besoin de rejouter « chaud », tu parle de forte chaleur, de soleil d'été, le fait qu'il soit chaud est évident. Une horloge tournait au dessus de la télévision et indiquait quatre heures passées. La température intérieur
e je crois que ça peut se mettre au féminin devait dépasser les 28 degrés. Il était impossible de réfléchir correctement dans une chaleur pareil et David se résigna, s'affalant davantage sur le canapé, un œil sur l'horloge. Puis son regard scruta l'intégralité du salon, cherchant un indice qui aurait pu lui échapper la première fois, un peu comme pour les trous dans le mur. Balayant tous les recoins d'un œil affuté, il s'arrêta à nouveau sur l'horloge puis baissa son regard. Mais bien sûr ! Pourquoi n'y ais-je pas pensé avant ?! Il s'avança vers la télévision et l'alluma. Peut-être que si ma disparition a frappé quelqu'un, ils en parleraient aux Infos. Mais il n'arriva pas à trouver la moindre chaîne. L'écran resta enneigé sous la déception de ce dernier
Là, grammaticalement, tu sous entend qu'il reste enneigé sous la déception de l'écran, puisque tu dis « celui-ci » et que tu parle de l'écran avant. Donc, il vaut mieux mettre « sous la déception du jeune homme », par exemple, pour varier un peu. , pensant avoir trouvé une solution pour s'en sortir. Il baissa les bras un instant
Pas de virgule avant un « et » et se laissa emporter par la chaleur, toujours sur ce canapé en cuir noir. Le soleil frappait son visage et ses yeux se fermèrent doucement jusqu'à se perdre dans ses rêves.
Le soleil qui frappe, c'est bizarre... Je te propose par exemple « Son visage état baigné de soleil et ses yeux se fermèrent doucement... »La nuit tombait.
David émergea doucement de ses rêves. A la longue, le canapé
,soit tu rajoutes cette virgule, soit tu enlèves celle après fœtus sur lequel
Ce démonstratif n'est jamais en deux mot, seulement en un seul. il était allongé en position du fœtus, n'était plus aussi confortable qu'il le pensait. En se levant
, il sentit des courbatures lui venir dans l'intégralité du corps. Tient, il fait déjà nuit, analysa-t-il en jetant un œil par dessus la vitre. Il était dix heures moins vingt selon l'horloge. Il tenta par désespoir de rallumer la télé mais toujours rien ne venait à l'image, le laissant perplexe. Pourquoi mettre une télévision si elle n'est même pas foutue de fonctionner ? Ça ne l'avançait pas plus.
Il arrêta néanmoins de trifouiller cette télé lorsqu'un bruit résonna dans le couloir. David accouru jusqu'à la porte et précipita sa vue devant le judas qui lui montrait un couloir toujours aussi vide. Peut-être l'avait-il imaginé. Faut dire qu'il n'avait pas mangé depuis plusieurs heures. Ce qui lui semblait d'autant plus étrange, c'est qu'il n'en ressentait pas le besoin, ni même de s'hydrater en buvant un grand verre d'eau (ce qui aurait dû lui sembler vital
sans « e » par une chaleur pareille). Peut-être que le stress et l'angoisse lui avaient coupé toute envie. Un nouveau bruit retentit et cette fois, David était prêt à réagir aussi vite. Il inspecta à nouveau et rien ne se manifestait. Sauf une lumière qui n'y était pas juste avant. A droite du couloir, une longue rangée de portes identiques surplongeaient toute l'allée. Et l'une d'entre elle
s, non loin de la sienne, laissait percevoir de la lumière. Il n'était donc pas le seul à cet étage. Cette pensée le rassura et le terrifia à la fois. Et si son ravisseur n'était lui aussi pas très loin... Des gouttes de sueurs parcouru
rent sont front chaud. Il ne pouvait pas rester ici une minute de plus. Si seulement un plan de secours s'offrait à lui...
Un silence insondable régnait à présent dans la pièce. Lorsqu'on se plaint de voisins trop bruyants, on ne s'imagine pas vivre aux côtés d'appartements vides. Jamais il n'était resté aussi longtemps sans compagnie. David était du genre à vivre dehors, entre son boulot qui n'en finissait jamais et les sorties nocturnes dans les coins branchés de la ville. Puis une pensée lui traversa l'esprit. Peut-être était-il encore fourré dans un de ces nombreux bars qu'il avait l'habitude de fréquenter. Il devait se trouver avec Amanda et ils auraient sûrement passé la nuit ensemble. Mais David bloquait encore à ce niveau. Amanda n'y était pour rien, c'
était une certitude pour lui. Et s'ils étaient ensembles, ils devraient l'être encore à l'heure qu'il
était, tous deux enfermés dans ce drôle d'appartement. Si seulement elle était là... pensa-t-il en s'imaginant en ce moment même à ses côtés, parcourant des mains son corps émincé. Sa seule présence lui suffirait à ne pas devenir fou. Tout devenait étouffant. Il avait fortement besoin du réconfort d'une personne, quelle qu'elle soit.
La dernière fois qu'il eut ressenti ce besoin, si c'est bien la seule fois d'ailleurs, ce fut après l'accident de son épouse, Karol. Tout ce qu'il sut de ce soir là, c'est qu'elle rentrait de boîte avec deux de ses amies, avec quelques grammes d'alcool dans le sang. C'était Amy qui conduisait. Selon le rapport de l'officier Cameron, elle n'avait pratiquement rien bu. Une fois passé le carrefour qui donnait sur l'avenue d'où se trouvait cette boîte branchée de la ville, un chauffeur de camion – ce genre de type à rouler à toutes heures de la journée – n'avait pas fait attention au stop. L'accident était imminent. Karol fut la seule à s'en sortir. Lorsqu'on perd une personne chère à notre cœur dans un accident de voiture, on prend vite le réflexe de toujours mettre sa ceinture de sécurité, quelle qu'en soit la distance. Ça lui aura sauvé la vie mais maintenant elle
était plongée dans un coma profond, branchée à des tas de câbles, attendant le jour où ses yeux s'ouvriraient à nouveau. Il eut souvent pensé aux premiers mots qu'il lui dirait le jour venu, mais six ans passèrent depuis l'accident et les chances de la revoir s'étaient vite estompées. Si elle venait à se réveiller, il commencerait déjà par s'excuser.
La seule personne que David désirait à cet instant, ce fut encore Amanda, plongé dans un phantasme purement charnel. Aucune passion, aucun amour, juste du désir. Voilà tout ce qui l'intéressait.
Il lui fallait trouver une nouvelle issue. Si quelqu'un avait voulu l'enfermer volontairement, il lui aurait laissé quelques indices à son sujet. Ce n'était peut-être qu'un malentendu après tout. Un concours de circonstance qui sait... se dit-il, toujours perplexe.
Il réfléchit.
J'ai donc passé la soirée avec Amanda. J'ai dû l'inviter à boire un verre après le boulot. Jusque là, tout était bon. Ses certitudes étaient fondées, mais il lui fallait creuser davantage. Amanda n'est pas une personne comme moi, elle aurait refusait de sortir en semaine. On était donc vendredi soir. Il est vrai qu'étant mère d'un enfant, elle avait quelques responsabilités. Son ex mari avait la garde tous les week-end. Amanda pouvait donc souffler pendant ces deux jours et profiter de sortir. Nous voilà donc samedi. Et d'ici moins de deux heures nous serons dimanche. Le temps passe vite, même enfermé... Il tenta ensuite de se souvenir de leur fin de soirée. Est-ce qu'il l'a
vait raccompagné
pas de « e » chez elle ou au contraire, s
'étaient-ils rendus tous deux à son domicile ? Mais rien ne lui revenait. Aucuns détails.
Il décida néanmoins de fouiller ses poches. Après tout, quel homme n'a pas les poches rempli de bazars ? Sans sac-à-main à notre disposition on fait avec les moyens du bord. Il farfouilla donc dans toutes ses poches de jeans et en sortit quelques affaires. Puis il s'attaqua à celles de sa veste. Il réunit ensuite tout les objets sur la table qu'il éparpilla en désordre avant d'analyser si ça pourrait l'aider ou non. Un paquet de tic-tac à la menthe, son porte-feuille – comportant carte bleue, pièce d'identité, trente-cinq dollars en billets, et d'autres cartes de réductions provenant de toutes sortes de magasins chics – ainsi qu'un trousseau de clef (provenant de sa maison), un paquet de Chesterfield, un briquet à clipper et un téléphone portable. Bingo ! Il ouvrit le clapet de son téléphone pour appeler enfin de l'aide. Malheureusement, aucun réseau n'était disponible. Il tenta de l'approcher de la vitre, espérant ainsi avoir du réseau, puis le leva en l'air en tournant ainsi bêtement dans toutes les pièces de l'appartement. Mais rien. Toujours aucunes barres n'étaient présentes. Il retourna dans le salon et le balança violemment sur la table. Son paquet de Chesterfield était encore devant lui et
il se servit une clope qu'il alluma aussitôt. Après avoir soufflé quelques bouffées de sa cigarette, David se laissa port
er à nouveau par le confort du canapé, s'allongeant de tout son long.
Les heures passèrent et la nuit était toujours présente. Aucun bruit, aucun murmure
Pas de « s » pour le réveiller. David dormait paisiblement. L'endroit était entièrement clos, sauf une brise d'air qui parcourait la pièce.
Ça lui était tout particulièrement agréable. Le souffle lui
parcourait Tu as mis parcourait deux fois assez proche. Essaie plutot avec « caressait » pour la deuxième fois. le visage. David ouvrit soudain un œil, gêné par de la lumière. Il se tourna, changeant ainsi de position mais cette luminosité fluorescente continua de le déranger. En ouvrant les yeux, le choc fut prodigieux, le propulsant hors du canapé. Son sursaut lui coupa le souffle. Une chose fluorescente se tenait derrière la vitre, planant dans les airs, un peu comme un oiseau mais sans avoir à se servir d'un quelconque système de planage. La chose restait en lévitation, d'une manière immobile qui lui donna la chair de poule. Les deux êtres se fixaient, immobiles, défigurant l'un de l'autre. Son pou
ls – après avoir battu la chamade jusqu'à à sentir son
cœur atteindre l'explosion imminente – atteignit un rythme plus lent. Sans savoir si cette chose avait un effet soporifique, David se sentit calme et serein. Il continua de le fixer mais la chose finit par lui tourner le dos et repartit, intensifiant sa luminosité dans l'obscurité de la nuit.
David n'en revenait pas de ce qu'il venait de voir. Tout n'avait plus aucun sens ici. Les choses et événements qui lui arrivaient ne tenaient pas la route. Il se sentait dépassé et examina à travers
Examina quoi ? l'immensité de la ville. Tout y était éclairé. De cet angle, Chicago ressemblait à un énorme panneau publicitaire comme on en voit pleins à Las Vegas mais en plus abstrait. Plus bas devant lui, se trouvait un immeuble du même style que celui où il se trouv
ait Deux « trouve » dans la même phrase... Essaie de changer (se demanda-t-il, intéressé
Il se demande quoi là ?). Dans un des derniers étages, une fenêtre était encore éclairée, ce qui l'étonna vu l'heure tardive qu'il était. Mais il ne vit personne.
Plus le temps passait et plus David se sentait oppressé. Les pièces semblaient se rétrécir. L'atmosphère en devenait irrespirable.
Les heures passèrent, puis les jours, puis les semaines. La fin de ce cauchemar ne montrait pas encore le bout de son nez. Il ne savait que faire. Les premiers jours, quelques souvenirs lui revinrent. Il se souvenait néanmoins être passé voir son épouse à l'hôpital,
qu'il lui a C'est mieux de remplacer pas « lui avoir », comme à son habitude tenu la main et prononcé quelques mots (comme si elle pouvait l'ent
endre). Et
être reparti ensuite, lui adressant un bisou sur le front. De la voir ainsi, ça l
'avait rendu mélancolique. Ce n'était pas la femme qu'il aimait. Karol était une personne tout particulièrement dynamique qui aimait les longues balades sous la pluie, sortir la nuit et se dépenser dans les salles de gym. Jamais il ne l'avait vu rester immobile aussi longtemps. Ce qui le marqua le plus, c'était le souvenir d'un de leur jeu coquin qui consistait à s'inventer un pseudonyme et de se lancer dans des histoires complètement loufoque
s. Il se faisait appeler Lord Jeoffrey Ackroyd et elle la Comtesse Jeanne Lockwood. Et ils s'amusaient tous deux à s'inventer une vie qui contait des aventures passant de l'adultère à un amour impossible. Un peu le genre d'histoire qu'on pouvait lire dans les œuvres du XIXe siècle.
Aucun autre indice ne le conduisait jusqu'ici. Son portable dont le réseau resta toujours inexistant, finit par se décharger jusqu'à s'éteindre. Son paquet de Chesterfield ne contenait plus que trois cigarettes.
Chose pas logique vu que dans un paquet, il y a environ 10 cigarettes et que vu qu'il s'est passé plusieurs semaine (« et les semaines passèrent ») ça fait plus de dix jours qu'il y est, donc, le paquet devrait déjà être fini depuis belle lurette... Chose encore plus étrange depuis son arrivée, David n'eut rien mangé. La faim ne lui venait pas et son organisme avait l'air de s'en contenter, n'en éprouvant aucun manque particulier. Le troisième jours, la chose lui avait flanqué la trouille, ne trouvant rien à se mettre sous la dent. Il eut d
'abord pensé finir mort de faim au b
eau milieu de
ce salon, mais p
lus le temps passait et plus il se sentait toujours en bonne santé. Il pensa d
'abord à une sorte de virus qu'on lui aurait injecté, lui coupant l'envie de se nourri
r. Mais l'idée fut vite écartée, aussi grotesque était-elle. L'envie n'est pas le seul facteur à prendre en compte. Son organisme ne l'aurait pas accepté et il serait déjà mort à l'heure qu'il
était. Puis il songea à un rêve. Si tout ceci n'était qu'un cauchemar. Il eut beau se pincer, se frapper, rien ne changea. Il était toujours coincé ici.
Seconde hypothèse : Une simple hallucination. Dû sûrement à une drogue. Ce qui serait tout à fait possible. Les bars que David
avait l'habitude de fréquenter
étaient bourrés de gens louches, les poches remplis de cachetons pour jeunes minettes. Une de ces drogues a
vait d
û tomber accidentellement dans son verre lorsqu'il était parti aux toilettes et maintenant il en subi
ssait les effets. Enfin... Peut-être aussi que le simple fait que j'en sois conscient puisse être contradictoire aux effets, pensa-t-il. J'en reviens donc au même point finalement. Voilà qui ne m'avance guère plus qu'au début.
Il s'avança vers la baie vitrée et
, En revanche, tu peux en mettre une, après un « et » comme à sa triste habitude, il contempla cette vue qui le fascinait tant. C'était pour lui le seul lien avec le monde réel et il s'en délectait sans modération. Ces innombrables lueurs qui scintillaient en tout sens,prouvant une grandeur certaine de cette ville qui surpassait en bien des points toutes les autres. Il s'imagina sortir d'ici et de courir dans l'immensité d'une des rues, sentant l'air frapper son visage, se sentant à nouveau vivant. Mais ce n'était qu'un doux rêve.
Il n'avait pas fait tout de suite attention mais en regardant mieux, il s'aperçut que l'appartement d'en face était encore éclairé. D'où il était, on apercevait seulement un salon dont seule la vue d'un canapé d'angle et d'une bibliothèque (rempli de ce qui pourrait être des babioles en plus d'une grande collection de livres) laissait croire que ça en était un. La pièce d'à côté qui elle était éclairée seulement par la luminosité de la télévision, semblait
laisser penser à une chambre. Rien ne pouvait être précis à cette distance. Mais il trouva cette endroit très coquet et chaleureux, sans se rendre compte qu'il était habité par une charmante femme. Elle se promena dans le salon, en sous-vêtement, un livre à la main. David l'observa, sans crainte d'être vu (personne ne pouvait le voir). La jeune femme reparti
t dans une autre pièce, non visible de là où se trouvait David. Il observa quelques minutes l'appartement de nouveau vide et elle réapparut. Elle venait d'enfiler un tee shirt, plutôt large, d'une couleur bleu clair qu'il avait semblé avoir identifié.
Sa silhouette élancée lui fit perdre la tête, le laissant en pleine admiration. La longue chevelure frisée qui lui tombait jusqu'aux fesses donna à David l'impression de revoir une femme qu'il eut aimé il y a bien des années. Une nageuse professionnelle qui rêvait de remporter toutes les médailles possibles. Leur amour ne dura pas longtemps, aussi précieux était-il pour lui. Ils étaient incompatibles, l'une vivant comme un poisson et lui qui souffrait d'aquaphobie. Cette peur ne lui apporta jamais rien de bien. Déjà en primaire, quand les cours de natations étaient obligatoire
s et que son père d
ut parler à son prof de gym – le terrible Mr Hycks et son sifflet qui en fit trembler plus d'un lorsqu'il venait à siffler – qui lui en fit baver par la suite. Toute sa classe riait de lui, pensant sûrement qu'il avait honte de porter un slip de bain bien trop moulant, ne voulant pas montrer une partie trop intime. Un complexe pensèrent-ils sûrement.
Voilà que la jeune femme s'allongea sur ce qui semblait être son lit et zappa les chaînes du câble.
C'est ce qu'il réussit à déduire par la luminosité qui changeait d'intensité au grès des mouvements qu'elle exerçait avec son bras lorsqu'elle voulait appuyer sur les chaîne suivante
s de sa télécommande.
Il ne pu
t dire pourquoi ni comment, mais une sorte d'alchimie venait de s'éveiller en lui, comme prit d'un coup de foudre instantané. Il
put ainsi la contempler des heures durant, sans avoir à s'en lasser.
D'abord, j'ai aimé le texte en général qui introduit bien l'histoire. Ensuite, donc, j'ai déjà corrigé les fautes de grammaire, d'orthographe et de tournure de phrase. Après ça, les erreurs qui reviennent le plus sont celles de conjugaisons, de grammaires. Tu mets du passé composé lorsqu'il ne faut pas. Tu ne peux pas en mettre pour parler d'un moment antérieur mais récent dans un récit au passé (va voir le tableau qu'il y a dans « aide »). Du doit soit utilisé soit de l'imparfait, soit du plus que parfait. Tu oublies aussi quelques « s ». Il faut que tu revois aussi la conjugaison des verbes « pouvoir » et « devoir » (qui se conjuguent de la même façon d'ailleurs). Enfin, il y a aussi les fautes aux mots « lequel » et « d'abord ». Il est impossible d'écrire le quel, puisque « quel » est seulement un mot interrogatif et que tu ne peux donc pas mettre de déterminant devant. Aussi, tous les démonstratifs ne sont qu'en un mot (lequel, lesquels, laquelle, lesquelles....). Et pour d'abord, pense à l'apostrophe. Ensuite, il s'agit des tournure de phrase. Je trouve que tu utilise beaucoup le verbe avoir sous la forme « eut » mais dans un temps composé. Ça peut donner du style dans certaines phrases mais être lourd et incompréhensible dans d'autre (je ne l'ai pas corrigé, n'étant pas sure de où l'enlever). Et une dernière chose, tu fais (comme moi) parfois des phrases trop longues avec trop d'idées dedans, du coup, on s'y perd. Organise tes idées et sépare les en plusieurs phrases.
Voilà, j'espère que mon commentaire est assez constructif, et j'attends la suite avec impatience