Mon avis est que ce n'est pas rose, donc c'est vert.
Après ce magnifique calembour à deux balles ennemies (pouah, c'est la forme, ce soir), je m'avance joyeusement pour dire que ce poème est... efficace. Simple, concis, droit au but ; c'est assez rarement ce que l'on attend d'un poème mais ça cadre bien avec le thème.
L'alternance long / court donne un peu l'impression d'un changement de point de vue à répétition entre un « narrateur » et une « victime en devenir »... c'est un peu lugubre. XD
Autrement... t'as pas l'air d'avoir cherché un rythme particulier donc je n'ai plus grand chose à dire... ^^'
Pendant un moment, j'ai cru que les vers étaient de plus en plus courts — ce qui est presque le cas — et ç'aurait pu donner l'impression du temps qui vient à manquer pour le gus en voie de trépasser.
Voilà, c'étaient mes deux centimes de poésie du mois.