Le rire de l’enfant résonna dans le couloir et alluma un sourire sur le visage d’Élisabeth encore endormie.Bon là encore pas de contexte ^^ Mais je verrrai bien "un rire d'enfant" J'aime bien "tinter" qui fait joli mais c'est peut être pas approprié ^^
Elle cligna des paupières devant la lumière violente de ce nouveau jour et attrapa l’oreiller pour le coller sur sa tête. Je la vois endormie et là elle cligne des paupières. C'est vrai que sourire en dormant c'est pas très facile... Ou inconscient. Etait-elle encore "a moitié" endormie ? A ce propos je verrai bien une virgule par là bas, "il alluma un sourire sur le visage d'Elisabeth, encore à moitié endormie"
J'aime l'oreiller
Je fais ca tout le temps XD "coller" ca m'a pas choqué mais il y a aussi "plaquer" qui marche pas mal.
« Il est encore trop tôt », ronchonna-t-elle. répétition de "encore" Celui-là est pas indispensable d'ailleurs, ca tombe bien...
L’enfant riait aux éclats et une voix plus grave imita celle d’un ogre.
Élisabeth reconnut Éric. Répétition de "enfant". Mais franchement, elle ne me gêne pas du tout.
Pour cette phrase c'est plutôt les temps. J'aurais dit qu'elle entend l'enfant rire pendant qu'il imite l'ogre mais dans ce cas, c'est l'imitation qui est ponctuelle par rapport au rire... Je sais pas si je suis claire. Par exemple, dans l'autre sens, ca aurait pu donner : "Tandis qu'une voix grave imitait celle d'un ogre, l'enfant riait aux éclats." Difficile de mettre un passé simple sur "rire aux éclats" et je ne voulais pas mettre "eclater de rire" parce qu'il y a deja "rire" et "sourire" plus haut.
Il était si tendre avec la petite Satya qui le considérait comme son père.Un peu brutal. J'ai tendance à faire des phrases courtes (trop courtes ?) mais ici ca pourrait être bien de séparer, non ?
Il était si tendre avec la petite Satya. Désormais, elle le considérait comme son père.
Le sourire de la jeune femme se mua en grimace et les larmes jaillirent. Ah ah X) Encore "sourire"... C'était mon problème dans la première version de SN, tu te souviens ? Je calais des sourires partout ^^ Là tu peux peut être changer comme c'est pos un état mais une action => l'expression de la jeune femme se mua en une grimace. Les larmes jaillirent.
Oups. J'ai séparé sans le vouloir, c'est pas obligé.
Son père… son amour … Cinq ans… Cinq années que Samuel était mort et pourtant la douleur était toujours intense, si présente, si sournoise. Cette plaie ne cicatrisait pas malgré la patience d’Éric et ses efforts répétés pour gommer le souvenir de son rival. Le "répété" est un peu dommage... C'est en permanence qu'il fait des efforts, non ? A chaque instant... Et puis "gommer le souvenir de son rival" il doit savoir que c'est impossible, surtout qu'Elisabeth (oh mon dieu !!!) a eu un enfant avec Sam (tant pis pour le suspens :'( ) Il essaie plutôt de faire oublier à Elisabeth sa douleur, qu'elle passe a autre chose... Enfin je le sens comme ca :s
Mais même mort Samuel, demeurait un obstacle. MORT ?? Argh... Tu me tues la !
Elle se recroquevilla sur elle-même, son poing serré dans sa bouche. Tu arrives à mettre ton poing dans ta bouche ? Pas moi >< J'imagine qu'elle mord son poing ou son pouce...
Parviendrait-elle un jour à oublier ? Question rhétorique
Elle gémit et étouffa un cri dans la moiteur de ses draps. Je ne vois pas pourquoi les draps sont moites. Si elle avait cauchemarder toute la nuit, oui, mais vu qu'elle commence seulement sa crise...
Tel un animal blessé, elle tortillait son corps pour échapper à la souffrance mais elle savait qu’il lui faudrait encore passer cette journée avec cette lame plantée dans le cœur. Sais pas, je la verrai plutôt se rouler en boule. Position du foetus... Mais c'est perso.
Encore encore ^^ Lui non plus n'est pas indispensable. Même un peu gênant. Si elle arrive a passer cette journée la, elle ne sera pas sauvée pour autant...
Répétitoin de "cette" "une journée de plus avec cette lame dans le coeur" ?
Satya, sa fille de cinq ans, restait la seule à pouvoir atténuer cette douleur. restait => était ? Restait, c'est comme si tu mettais une restriction. Mais rien d 'autre que Satya n'est évoqué qui aurait pu atténuer la douleur... Ou alors il faudrait reparler d'Eric juste avant. Je suis pas sure.
Elle ressemblait tellement à Samuel. Le même regard. Le même sourire. Pour sa fille, elle était prête à combattre le pire, faire face à ses terreurs et lui donner tout le bonheur possible. Chaque jour, elle jouait un rôle : celui d’une maman heureuse.
role = actrice ? Elle n'est pas vraiment heureuse. Il faudrait peut etre préciser sur la difficulté de "lui donner tout le bonheur possible" que j'ai compris comme "lui montrer tout le bonheur possible". Malgré le fait qu'Elisabeth est malheureuse... Sinon on ne comprend pas ou est le problème. (Pour sa fille elle était prête à compattre le pire, faire face à ses terreurs et de jouer le rôle d'une maman heureuse, de lui montrer tout le bonheur possible) J'ai peut etre mal compris : s
Son jeu ne dupait pas Éric. Ah, peut être pas en fait ^^
Derrière cette façade, il devinait la détresse. Les premiers mois, après la mort de Samuel, il avait respecté les longs silences d’Élisabeth. Et puis, un jour, il avait décidé que la vie devait reprendre son cours. La jeune femme avait suffisamment porté son deuil, risquait d’y perdre la raison et l’enfant à naître avec elle. elle = raison (dernier nom féminin) ? = Elisabeth (dernier sujet) ? Le "avec elle" est-il vraiment nécessaire ?
Alors ils avaient voyagé, sans presque jamais s’arrêter malgré la grossesse d’Élisabeth qui voyait son ventre s’arrondir avec émerveillement. Sans presque jamais s'arrêter ? >< => ne s'arrêtant jamais plus de X jours, ?
Puis Satya était née. Ils s’étaient attardés quelques temps sur le nouveau continent. Au bout de six mois, ils avaient repris leur périple. attardés ? Ils sont pressés ? J'ai plutôt l'impression qu'ils se sont installés pour l'enfant, fragile.
Au bout de => :-s Après six mois ?
Concordance des temps : si ton point de repère est le préésent, ca ne colle pas, il me semble
=> Elisabeth avait vu
Si Éric expliquait cette fuite pour échapper à leurs ennemis, il se mentait à lui-même.pour ? Il me semble qu'il faut mettre avec + cause : => Si Eric expliquait cette fuite par la traque de leurs ennemis
Ou bien => Si Eric justifiait cette fuite par la traque de leurs ennemis.
Dsl, je vois pas comment récupérer le "pour échapper à leurs ennemis". Ou bien "par le fait qu'il devait échapper à leurs ennemis" mais c'est lourd :s
Le "si" est une condition ? Je n'en ai pas l'impression... L'autre sens est possible (parce qu'il n'y a pas de "alors" avant la deuxième partie) mais ce n'est pas forcément celui qui vient en premier. Pour plus de clarté, il est possible de mettre "Eric expliquait cett.... mais il se mentait à lui-même.
Il ne voulait pas qu’Élisabeth retombe dans ce mutisme qui avait suivi la mort de Samuel. Ces voyages permettaient l’oubli, ne laissaient pas de place aux souvenirs. ce cette ces, tu utilises beaucoup les démonstratifs.
Ces voyages lui permettent de se changer les idées non ? Mais elle n'oublit pas vraiment, quand la réalité lui revient elle souffre (comme ici)
Les cris joyeux avaient cessé et la jeune femme s’extirpa de son lit. Elle pénétra dans le salon baigné par la lumière du jour. Je n'aurais pas couper les phrases comme ca. Il me semble que la fin de la premiere va avec la deuxième : Les cris joyeux avaient cessé. La jeune femme s'extirpa de son lit et prit la direction du salon. Baigné de lumière...
pénétra me gênait un peu pour une pièce. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi, si ca se trouve ce n'est pas fondé et ca marche très bien ^^
baigné par m'a un peu fait bizarre. Baigné de lumière j'ai déjà vu. Je suis pas certaine.
Derrière la grande baie vitrée, la mer déployait ses rouleaux sur la plage de sable fin. Sa fille courait sur le rivage, poursuivie par Éric. Elle devina leurs éclats de rire. En observant la scène, un mot sonna dans sa tête : Paradis. derrière => de l'autre côté ? déployait ses rouleaux, c'est joli, mais quelque chose cloque avec les s . Il y en a beaucoup. En plus avec le "sa" qui suit... J'ai pas d'idées, impossible de changer si on veut garder l'expression.
devina ? Elle les entendait depuis sa chambre...
la scène => tu pourrais mettre une phrase à la place: par exemple => en voyant son ami attraper Satya, un mot sonna dans son esprit : paradis.
Il y a une majuscule à paradis ? En tout cas ce n'est pas du au deux points..
Elle est pas heureuse mais elle pense au paradis... Il faudrait peut être une petite retriction non ?
L’eau de son thé chauffait dans la bouilloire de la cuisine lorsqu’ils rentrèrent de leur excursion sur la plage. Le thé chauffait ? Nous on met les herbes dans une sphère en grillage directe dans la bouilloire. Je suppose que les sachets existent, comme pour la tisane ^^
L'eau du thé ?
de la cuisine => on s'en doute, et la phrase est déjà longue
=> lorsqu'ils rentrèrent (point final)
===> L'eau du thé chauffait dans la bouillore lorsqu'ils rentrèrent.
La petite fille se précipita aussitôt dans les bras de sa mère. Éric considéra avec tendresse les deux êtres qui comptaient le plus dans son cœur. considéra ? Jamais vu dans ce contexte. "regarda, observa, contempla..."
êtres = un peu soutenu. = personnes ?
Une sorte de fibre invisible les reliait toutes les deux, et personne n’aurait pu rompre ce lien. fibre=> fil ? lien ? Tu me dis fibres je pense à bois ou à cellulose ^^ J'aime bien lien, un peu plus abstrait.
toutes les deux = repet de "deux" ; et pas nécessaire
Ah raté. Je viens de comprendre pourquoi tu n'as pas mis "lien" au début...
=> Un lien invisible les liait, que personne n'aurait pu rompre.
Ca permet de slalomer entre les difficutés ^^
(et puis vivement qu'elle soit ado, qu'on rigole x) )
C’était presque magique. presque ? Si tu veux dire que ce n'était pas magique mais que cela y ressemblait, dit que cela semblait magique ^^
Il ne savait pas si ce sentiment était identique pour toutes les mères et filles de cette planète, mais ces deux-là s’aimaient intensément. encore "deux"
Je pense que le verbe aimer est encore plus fort sans complément adverves etc. Cela garde l'absolu du mot et tout ce qu'il implique sans le limiter. Mais c'est vrai qu'ici c'est justifié, parce qu'Eric sous entend que ce qui les lie est plus fort que l'amour traditionnelle mere-fille...
cette planète ? Euh...
=> Il ne savait pas si toutes les mères et toutes les filles étaient aussi proches, mais Elisabeth et Satya s'aimaient intensément.
Au fil du temps, Élisabeth semblait aller de mieux en mieux. Redondant. Au fil du temps, Elisabeth semblait aller mieux, semblait se rétablir, se retouver(...)
Son visage s’illuminait de plus en plus souvent de ce sourire qu’elle arborait au début de leur relation.de plus en plus, illuminait... Un peu lourd non ?
Peu à peu elle retrouvait ce sourire qu'il connaissait si bien, celui qui illuminait son visage au début de leur relation.
Il comprenait que la mort de Samuel serait un cap difficile à passer. Il est déjà mort non >< Pourquoi un futur ? => la mort de Samuel était un cap difficile à passer
Cependant il n’avait pas pensé que ce passage durerait presque cinq années. n'avait pas pensé => Cependant il n'aurait pas cru
ce passage => que cela prendrait près de cinq années.
Combattre ce fantôme se révélait inutile et que quoi qu’il fasse ou décide, le souvenir de son rival serait toujours présent.
Combattre un fantôme
que quoi => quoi
Son combat contre un fantôme était perdu d'avance. Quoi qu'il fasse ou décide, le souvenir de son rival ne quitterait jamais les pensées d'Elisabeth.
C'est un vrai plaisir de te corriger ! Tu as dépassé le stade de l'orthographe et des choses bien évidentes, (et depuis longtemps). Du coup c'est aussi plus compliqué parce que ca devient subjectif... (pas comme un accent circonflexe à même ^^)
Ca devient vraiment intéressant !